Rapport sur l'évolution du procès des prisonniers
Gdeim Izik dans la ville de Salé, au Maroc, par Equipe Media, 15/5/2017
Poursuite des activités organisées par les
Sahraouis devant la Cour d'appel, en appui au groupe Gdeim Izik de prisonniers politiques.
Des slogans politiques ont été chantés haut et
fort, exigeant l'autodétermination et dénonçant le simulacre de procès.
Les caméras d’Equipe Media ont présenté des photos
montrant des voyous marocains dénigrant sur des pancartes le travail des organisations
internationales. « Les organisations internationales aident les
mouvements terroristes » et d'autres expressions contre tout le travail des
observateurs internationaux sur la question du Sahara Occidental occupé.
De telles pratiques de moquerie qu’utilisent les Marocains
mettent en lumière la crise que
le royaume alaouite vit avec l’affaire de Gdiem Izik.
La même chose se produisit lorsque la Suède a reconnu la RASD, les autorités d'occupation ont organisé des manifestations en recrutant des milliers de ses citoyens pour aller à l'encontre de ce pays, ou contre l'ancien Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, après qu'il ait utilisé le terme « occupation » pour désigner le conflit entre le Maroc et le Sahara occidental.
La même chose se produisit lorsque la Suède a reconnu la RASD, les autorités d'occupation ont organisé des manifestations en recrutant des milliers de ses citoyens pour aller à l'encontre de ce pays, ou contre l'ancien Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, après qu'il ait utilisé le terme « occupation » pour désigner le conflit entre le Maroc et le Sahara occidental.
Ce jour-là a repris le procès des prisonniers
politiques de Gdeim Izik et donc la participation d'organisations
internationales qui sont observateurs du simulacre de procès. Elles ont produit divers rapports montrant ce théâtre qu'est la parodie de jugement des
prisonniers politiques sahraouis.
Les déclarations des témoins supposés du régime
militaire n'ont pas ajouté de preuve contre les prisonniers sahraouis, ils se
sont simplement limités au cadre général de questions qui figurent dans les rapports
verbaux de la police judiciaire d'occupation.
Le lundi 15 durant le jugement s'est présenté Tarik Hajri militaire de la gendarmerie d'occupation, qui avec son témoignage essayait de donner un cadre humanitaire sur le rôle des forces quand l'attaque a été donnée au campement. Le témoin a poursuivi avec sa déclaration "j'ai vu de la fumée sortant du campement, des flammes et quelques cadavres. A ce moment je me suis évanoui. Je ne peux pas reconnaître les personnes parce qu'elles étaient avec des turbans, mais oui les manifestants portaient des armes, des pierres et des machettes et je n'ai pas vu de voiture renversée". L'interrogatoire a continué avec la question, à savoir si l'armée marocaine était armée ou non.
Le lundi 15 durant le jugement s'est présenté Tarik Hajri militaire de la gendarmerie d'occupation, qui avec son témoignage essayait de donner un cadre humanitaire sur le rôle des forces quand l'attaque a été donnée au campement. Le témoin a poursuivi avec sa déclaration "j'ai vu de la fumée sortant du campement, des flammes et quelques cadavres. A ce moment je me suis évanoui. Je ne peux pas reconnaître les personnes parce qu'elles étaient avec des turbans, mais oui les manifestants portaient des armes, des pierres et des machettes et je n'ai pas vu de voiture renversée". L'interrogatoire a continué avec la question, à savoir si l'armée marocaine était armée ou non.
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