maghrebemergent, 5/5/2017
Le représentant du Front Polisario en
Suisse, Omeima Abdeslam, s'est félicité vendredi de la mention de la
situation des droits de l’Homme au Sahara occidental occupé, présentée
par une douzaine de pays lors de l'examen périodique universel (EPU) du
Royaume du Maroc devant le Conseil des droits de l'homme de l'ONU à
Genève.
"Le bilan de l’examen se félicite que le Sahara occidental ait été évoqué par 12 pays, à divers degrés: mention générale dans la déclaration, recommandation générale sur les droits de l’Homme, recommandations fortes ou avancées", a-t-il souligné.
Il s'agit, selon Omeima Abdeslam de l'Uruguay qui a plaidé pour l'élargissement du mandat de la Mission des Nations Unies pour l`organisation d`un référendum au Sahara occidental (Minurso) et pour la nécessité d'accorder une attention particulière aux droits de l’Homme au Sahara occidental et du Zimbabwe qui a défendu l’exercice du droit à l’autodétermination du peuple sahraoui à travers la tenue d’un référendum.
L'Estonie a souligné, lors de cet examen, la nécessité de garantir l'accès des défenseurs des droits de l’Homme et des journalistes au Sahara occidental occupé par le Maroc, alors que l'Islande a plaidé pour le droit à l'autodétermination du peuple sahraoui, relevant l'importance d'améliorer la situation des droits de l’Homme dans ces territoires occupés, et les libertés d’expression, de réunion et d’association.
L'Irlande également a défendu le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination, la liberté d’association et d’expression, au même titre que le Mozambique qui a appelé le Maroc à se conformer à la résolution 2351 (2017) du Conseil de sécurité de l'ONU, à permettre l’autodétermination du peuple du Sahara occidental et à collaborer avec le nouvel envoyé spécial du Secrétaire général de l'ONU.
Permettre l'exercice du droit inaliénable du peuple sahraoui à l'autodétermination a été défendu, en outre, par la Namibie et l'Afrique du Sud. Le premier a exhorté le Maroc à accepter l’échéancier sur l’organisation d’un référendum d'autodétermination, et l’élargissement du mandat de la Minurso et le second l'a invité à reprendre le processus de paix pour une solution politique, et coopérer avec les envoyés du Secrétaire général de l'ONU et de l’UA.
La Norvège a souligné également la nécessité d'accréditer les associations de la société civile, y compris celles revendiquant le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui, alors que le Mexique a souligné la nécessité de permettre au peuple sahraoui de jouir de la vie culturelle.
"Le bilan de l’examen se félicite que le Sahara occidental ait été évoqué par 12 pays, à divers degrés: mention générale dans la déclaration, recommandation générale sur les droits de l’Homme, recommandations fortes ou avancées", a-t-il souligné.
Il s'agit, selon Omeima Abdeslam de l'Uruguay qui a plaidé pour l'élargissement du mandat de la Mission des Nations Unies pour l`organisation d`un référendum au Sahara occidental (Minurso) et pour la nécessité d'accorder une attention particulière aux droits de l’Homme au Sahara occidental et du Zimbabwe qui a défendu l’exercice du droit à l’autodétermination du peuple sahraoui à travers la tenue d’un référendum.
L'Estonie a souligné, lors de cet examen, la nécessité de garantir l'accès des défenseurs des droits de l’Homme et des journalistes au Sahara occidental occupé par le Maroc, alors que l'Islande a plaidé pour le droit à l'autodétermination du peuple sahraoui, relevant l'importance d'améliorer la situation des droits de l’Homme dans ces territoires occupés, et les libertés d’expression, de réunion et d’association.
L'Irlande également a défendu le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination, la liberté d’association et d’expression, au même titre que le Mozambique qui a appelé le Maroc à se conformer à la résolution 2351 (2017) du Conseil de sécurité de l'ONU, à permettre l’autodétermination du peuple du Sahara occidental et à collaborer avec le nouvel envoyé spécial du Secrétaire général de l'ONU.
Permettre l'exercice du droit inaliénable du peuple sahraoui à l'autodétermination a été défendu, en outre, par la Namibie et l'Afrique du Sud. Le premier a exhorté le Maroc à accepter l’échéancier sur l’organisation d’un référendum d'autodétermination, et l’élargissement du mandat de la Minurso et le second l'a invité à reprendre le processus de paix pour une solution politique, et coopérer avec les envoyés du Secrétaire général de l'ONU et de l’UA.
La Norvège a souligné également la nécessité d'accréditer les associations de la société civile, y compris celles revendiquant le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui, alors que le Mexique a souligné la nécessité de permettre au peuple sahraoui de jouir de la vie culturelle.
maghrebemergent.com/.../72980-onu-inquietude-a-geneve-sur-la-situation-des-droits-...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire