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Des enfants lâchent des ballons à Marrakech, au Maroc, le 20 novembre 2019
afp.com - FADEL SENNA
FatimaZarha
souhaite "un monde qui respecte les différences", Yasmina plaide pour
une "médecine gratuite", Meryem veut "mettre fin aux mariages précoces",
Taha veut aider les migrants...
Des dizaines de jeunes Marocains réunis en Parlement des enfants partagent leurs rêves d'avenir, cette semaine à Marrakech, lors d'un congrès de trois jours organisé pour le trentième anniversaire de la Convention internationale des droits de l'Enfant.
Parmi les plus jeunes, Aya, 11 ans, pense avant tout aux enfants, comme elle: "à la maison, il faut de l'amour et de la tendresse, à l'extérieur, il faut que l'Etat prévoit des terrains de sports, des maisons de jeunes, pour que les enfants puissent exercer leurs talents sportifs artistiques et culturels", assène cette enfant qui vit à Ouezzane, une bourgade rurale du nord, dans une région particulièrement sous équipée du Maroc.
"L'école et l'action éducative, c'est la porte que l'on doit emprunter pour prendre la voie du développement car l'enfant d'aujourd'hui est l'homme de demain", dit cette élève qui se voit médecin, quand elle sera grande.
Aya a rejoint à Marrakech des jeunes venus de tout le Maroc pour participer au forum annuel organisé par l'Observatoire national des droits de l'enfant.
- "Sentiment d'injustice" -
La situation de la jeunesse est devenue une question prioritaire au Maroc, alors que de nombreux jeunes Marocains risquent régulièrement leur vie pour rallier l'Europe en quête d'un avenir meilleur.
Des dizaines de jeunes Marocains réunis en Parlement des enfants partagent leurs rêves d'avenir, cette semaine à Marrakech, lors d'un congrès de trois jours organisé pour le trentième anniversaire de la Convention internationale des droits de l'Enfant.
Parmi les plus jeunes, Aya, 11 ans, pense avant tout aux enfants, comme elle: "à la maison, il faut de l'amour et de la tendresse, à l'extérieur, il faut que l'Etat prévoit des terrains de sports, des maisons de jeunes, pour que les enfants puissent exercer leurs talents sportifs artistiques et culturels", assène cette enfant qui vit à Ouezzane, une bourgade rurale du nord, dans une région particulièrement sous équipée du Maroc.
"L'école et l'action éducative, c'est la porte que l'on doit emprunter pour prendre la voie du développement car l'enfant d'aujourd'hui est l'homme de demain", dit cette élève qui se voit médecin, quand elle sera grande.
Aya a rejoint à Marrakech des jeunes venus de tout le Maroc pour participer au forum annuel organisé par l'Observatoire national des droits de l'enfant.
- "Sentiment d'injustice" -
La situation de la jeunesse est devenue une question prioritaire au Maroc, alors que de nombreux jeunes Marocains risquent régulièrement leur vie pour rallier l'Europe en quête d'un avenir meilleur.