le 24/5/2017
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© DRLa sénatrice Leila Aichi
La campagne médiatique acharnée lancée par le Makhzen, à travers ses relais médiatiques et ses lobbys en France et ailleurs, contre la sénatrice Leila Aichi, suite à son investiture par «La République en Marche» du président Emmanuel Macron comme candidate du parti pour les prochaines élections législatives françaises, au titre de la 9ème circonscription des Français établis hors de France, n’a finalement servi à rien, sinon à révéler le sectarisme et l’étroitesse d’esprit des auteurs de ladite campagne.
Cette campagne, particulièrement hostile, qui reproche notamment à Mme
AÏCHI ses positions, réelles ou supposées, vis-à-vis de la question du
Sahara Occidental, voire même son origine algérienne dont elle est
légitimement fière, avait d’ailleurs pris des dimensions démesurées
frôlant le ridicule et faisant parfois oublier à ses instigateurs qu’il
s’agissait en l’occurrence d’une échéance électorale française et non
pas marocaine.
Comme expression ultime de leur désespoir, les adversaires déclarés de
Mme Aïchi ont alors tenté, et relativement réussi, de tromper l’opinion
publique en faisant croire que la candidature de Mme Aïchi a été retirée
suite aux pressions exercées par les lobbys du Makhzen sur le Président
Macron lui-même.
Ce grossier mensonge n’a semble-t-il pas résisté longtemps puisque une
source bien introduite au niveau de l’Elysée a révélé que Mme Aïchi est
la seule candidate officielle de « La République en Marche » pour la
9ème circonscription des Français établis à l’étranger et qu’elle est la
seule candidate à pouvoir se prévaloir du soutien dudit mouvement
politique et d’utiliser cette qualité sur ses documents électoraux.
Cette information a été confirmée par l’affiche de campagne de la
candidate où l’on peut voir les photos de Mme Aïchi et du président
Macron frappée du slogan «Votez Leila Aïchi, la candidate d’Emmanuel
Macron». Du reste, l’administration française chargée des opérations
électorales a déjà imprimé et fait parvenir aux ambassades et consulats
français concernés les bulletins de vote en bonne et due forme qu’auront
à utiliser les électeurs choisissant Mme Leila Aïchi pour occuper ce
siège parlementaire tant convoité.
De surcroit, Mme Aïchi, qui a déjà entamé ses activités de campagne,
s’est rendue en Tunisie, la première étape d’une tournée qui la mènera
dans plusieurs pays africains relevant de la 9ème circonscription. Dans
ce contexte, nous croyons savoir qu’elle se rendra, dans ce même
objectif, en Algérie les 2 et 3 juin prochain.
Cette campagne, particulièrement hostile, qui reproche notamment à Mme
AÏCHI ses positions, réelles ou supposées, vis-à-vis de la question du
Sahara Occidental, voire même son origine algérienne dont elle est
légitimement fière, avait d’ailleurs pris des dimensions démesurées
frôlant le ridicule et faisant parfois oublier à ses instigateurs qu’il
s’agissait en l’occurrence d’une échéance électorale française et non
pas marocaine.
Comme expression ultime de leur désespoir, les adversaires déclarés de
Mme Aïchi ont alors tenté, et relativement réussi, de tromper l’opinion
publique en faisant croire que la candidature de Mme Aïchi a été
retirée suite aux pressions exercées par les lobbys du Makhzen sur le
Président Macron lui-même.
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