Des
années durant, des décennies plutôt, le régime marocain a humilié,
emprisonné, tué ou éliminé les rifains. Pire, cette population empêchée
de migrer vers la capitale administrative ou économique dans sa quête de
subsistance, par Hassan II qui imposa le blocus du Rif, n'eut d'autre
alternative qu'émigrer vers l'Espagne, la Hollande, la Belgique,
l'Allemagne et d'autres pays du Nord qui, au sortir de la guerre avaient
besoin de main-d'œuvre peu ou prou spécialisée, pour reconstruire les pays ravagés par les deux conflits mondiaux.
Pendant que des milliers de rifains frappés d'ostracisme prenaient le chemin de l'exil, la monarchie marocaine s'enrichissait et permettait l'émergence d'une grande bourgeoisie corrompue et corruptrice.
Chaque fois que les rifains ont tenté de faire entendre leurs souffrances, le régime en a fait de la chair à pâté, dans l'indifférence générale de la communauté internationale et, il faut bien le reconnaître, dans celle de leurs compatriotes marocains, que le Makhzen honni avait éduqués dans la méfiance ou la défiance à l'égard du riffi ou du chleuh !
Un jour, il faudra bien rendre compte de tous ces crimes contre l'humanité commis par le régime marocain criminel et les prédateurs qui en tiennent les leviers !
Pendant que des milliers de rifains frappés d'ostracisme prenaient le chemin de l'exil, la monarchie marocaine s'enrichissait et permettait l'émergence d'une grande bourgeoisie corrompue et corruptrice.
Chaque fois que les rifains ont tenté de faire entendre leurs souffrances, le régime en a fait de la chair à pâté, dans l'indifférence générale de la communauté internationale et, il faut bien le reconnaître, dans celle de leurs compatriotes marocains, que le Makhzen honni avait éduqués dans la méfiance ou la défiance à l'égard du riffi ou du chleuh !
Un jour, il faudra bien rendre compte de tous ces crimes contre l'humanité commis par le régime marocain criminel et les prédateurs qui en tiennent les leviers !
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