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samedi 30 septembre 2023

communiqué de presse: NON AUX J.O d'hiver de 2030

Communiqué de presse: NON AUX J.O D’HIVER DE 2030 !

logo.pngDepuis plusieurs années, les candidatures de différentes villes aux Jeux Olympiques d’hiver ou d’été, font l’objet d’interrogations sur leur bien-fondé, de débats et de contestations citoyennes. Parfois, cela amène certaines d’entre-elles à y renoncer. C’est le cas, en ce qui concerne les JO d’hiver 2024, d’Oslo (Norvège), Innsbruck (Autriche), Saint-Moritz ou encore Sion (Suisse).

Ce sont d'abord des raisons financières qui justifient ces refus d'organiser des jeux. En effet l’histoire des JO montre que leur organisation se solde, chaque fois, par un gouffre financier quasi-systématique et un endettement massif payé par les contribuables.

Mais il y a aussi des raisons environnementales et écolo-climatiques car ces jeux provoquent la destruction de sites, de paysages et des écosystèmes, et contribuent, avec la production de gaz à effet de serre, à l’aggravation des dérèglements climatiques. Le manque de neige et sa fabrication artificielle pille les ressources en eau. Déjà les stations de moyenne montagne démontent leurs installations, les glaciers ont perdu un tiers de leur volume, la sécheresse menace de façon constante…  

Ces refus des jeux  découlent également de raisons démocratiques, avec la non consultation des populations des sites concernés et/ou l' opposition explicite, mais non prise en compte, d’une partie importante de ces populations.

Les prochains Jeux de Paris montrent que, sans conteste, les Jeux ne sont pas fait pour le « petit » peuple : prix astronomiques des billets pour assister à des épreuves, coût de l'hôtellerie doublé voire triplé, sans réelle réaction des autorités régionales ou nationales..

C’est dans ce contexte d’ignorance des enjeux financiers, écolo-climatiques et démocratiques que Wauquier (Les Républicains) et Muselier (Renaissance), respectivement présidents de droite de AuRA et PACA, croient bon d’engager leur Région dans une candidature pour accueillir les J.O d’hiver en 2030.

Ils imaginent profiter de l’engouement sur-joué pour les JO de Paris en 2024 pour rendre populaire leur démarche. Mais pas plus à Paris qu'en régions, les jeux ne seront populaires, sinon en regardant la télévision.... 

Ce projet n’a aucun sens pour nos territoires.

Avec ces JO, nous devrions faire face à des « Grands Travaux Inutiles », qui détruiraient des biotopes fragiles, compliqueraient la vie des populations qui sont déjà en panne de logements, les nouveaux logements profiteraient aux touristes riches alors qu’actuellement les régions AuRA et PACA sont incapables de loger les saisonnier·es…

Après l'absurdité de l'organisation de la  coupe du monde de foot dans le désert qatari en 2022, l’organisation des JO d’hiver en 2030,interviendrait l’année d’après celle des Jeux d’hiver asiatique en 2029 en Arabie Saoudite ! La symbolique sera très forte : Qatari, Arabie Saoudite, AuRA, PACA même combat contre les enjeux climatiques.

Mais déjà la résistance s’organise : à Embrun (Hautes-Alpes), les 15, 16 et 17 septembre, il y a eu trois jours de manifestations et de lutte contre ce projet insensé.

La Montagne entre en rébellion !

En AuRA-PACA nous disons oui à un développement social et écologique des territoires tenant compte des besoins sociaux, de l’environnement et de la sauvegarde du climat, oui à la consultation démocratique des populations des territoires concernés, oui à l’accueil digne des personnes en migration, mais nous disons non à l’accueil de grands travaux inutiles, destructeurs et écocides, oui à la lutte contre le réchauffement climatique et non à un projet insensé qui ne servira qu’aux profits capitalistes,

Notre choix est clair : tout pour que la planète reste habitable, dans nos régions comme ailleurs ! Non aux JO d’hiver !

Et, parce que le droit de décider incombe d’abord aux populations régionales, exigeons qu’elles soient consultées !

Les coordinations régionales d’ ENSEMBLE! - Auvergne Rhône-Alpes et Provence Alpes Côte-d’Azur
le 20 septembre 2023

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ENSEMBLE !

Mouvement pour une

alternative de gauche

écologiste & solidaire

 

jeudi 28 septembre 2023

COMMUNIQUÉ / Jusqu’où ira Benjamin Netanyahou sans provoquer de réaction de ses « amis » ?


 

AFPS

27 sept. 2023


À Associations




Jusqu’où ira Benjamin Netanyahou sans provoquer de réaction de ses « amis » ?

Jours après jours, l’armée d’occupation et des colons totalement débridés au service du régime d’apartheid israélien intensifient la violence envers les Palestiniens.

Les derniers jours ont vu un nouveau raid dans le camp de réfugiés de Nour Shams à Tulkarem, laissant le camp dévasté et sa population terrorisée dans une détresse totale, complètement abandonnée par une communauté internationale qui feint d’ignorer jusqu’à son existence.

Cette attaque du camp de réfugiés de Nour Shams s’est produite pendant une période de célébration de fête juive qui s’est traduit en Palestine occupée, par le bouclage total de la Cisjordanie et de Jérusalem-Est par l’occupant. Ces périodes sont désormais devenues synonymes d’agressions de colons envers les populations les plus démunies et vulnérables, en l’occurrence les communautés pastorales bédouines qui sont la cible d’attaques de colons de jour comme de nuit :

mercredi 27 septembre 2023

La phrase de Michel Rocard

Pourquoi ne pas citer la totalité de la phrase de Michel Rocard?
La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde,mais elle doit en prendre fidèlement sa part

 

lundi 25 septembre 2023

Sur le séisme au Maroc, par Amal Lahoucine

10/09/2023

Après le séisme qui a frappé le Maroc , la plupart des douars sont détruits. Des familles entières sont mortes. Dans le douar Tirknit de la commune de Tizi-n-Tast, province de Taroudant (à 54 km de Taroudant), un douar de mes ancêtres maternels, il y a eu  75 morts, c'est toute sa population ! Il y a des milliers d'exemples semblables. Ce sont encore les Amazighs du Maroc qui sont frappés, après les massacres du Hirak du Rif, mais cette fois-ci c'est plus grave : c'est la mort. Des milliers de cadavres gisent toujours sous la terre, dans une superficie d'environ 500 km à 120 km, une catastrophe qui ne s'est jamais produite avec une puissance aussi inouïe dans le Haut et Anti-Atlas, pendant toute l'histoire du Maroc.

Pour une liste unie aux européennes.

Que de belles rencontres lors de cette fête de l'Huma 2023 ! Notamment avec les jeunes de la Nupes favorables à une liste unie aux européennes.

Les débats qui ont eu lieu au stand Ensemble!-GDS-Nouvelle Donne-Peps ont été filmés par notre camarade Jean-Pierre Coté et seront bientôt disponibles.

Merci à toutes celles et tous ceux que nous avons rencontrés et qui sont venus échanger avec nous, parmi lesquels : François Ruffin, Alexis Corbière et Clémentine Autain  (LFI) ; Olivier Faure et Pierre Jouvet (PS) ; David Cormand et Cyrielle Chatelain (EELV) ;  Laurence Boffet (Ensemble!) ;  Léa Filoche, Arash Saiedi et Hella Kribi-Romdane (Génération.s), Gérard Filoche et Marlène Collineau (GDS)...Mais aussi des syndicalistes : Mornia Labssi, Nara Cladera, Bernard Schmid. Également Erwan Lecoeur, Stefan Bekier du RESU, Jean-Pierre Pasternak des Ukrainiens de France, les amis du FUIQP, les amis tunisiens du CRLDHT...

Merci aux camarades qui ont animé les débats : Margot Smirdec (Nouvelle donne), Marie-Pierre Vieu (fondation Copernic), Nadège Boisramé (GDS), Marjorie Keters (Peps), Francis Sitel (Ensemble!), Jean-François Pélissier (Ensemble!).

Et merci à tous les militants et à toutes les militantes d'Ensemble, de GDS, de Nouvelle donne et de Peps d'avoir permis la tenue de ce stand partagé !

Sans oublier les animatrices et animateurs du journal "l'âge de faire" qui ont permis la tenue d'une buvette avec des galettes, de l’houmous et des haricots rouges

 

dimanche 24 septembre 2023

Sahara Occidental : Autodétermination oui, autonomie non

L'une des principales tâches du Royaume du Maroc est de  défendre son occupation, la  marocanité du Sahara Occidental, et son plan d'autonomie.
Les autorités  marocaines essaient par tous les moyens d'orienter les reportages dans leur sens, de reconnaître la marocanité du Sahara Occidental, et de rendre la vie difficile au Front de libération du Sahara Occidental (Front Polisario ), aux groupes de solidarité,  et de faire pression sur les gouvernements pour qu'ils reconnaissent l’appartenance  de l'ancienne colonie espagnole au Maroc.
Une seule et unique "autonomie" veut être concédée par  Rabat aux Sahraouis, celle dictée par le roi. Ce qui est complètement différent de "l'autodétermination", à laquelle les habitants du Sahara Occidental ont un droit inaliénable proclamé par la déclaration des Droits de l'Homme. Le Sahara est libre de choisir !

 

samedi 23 septembre 2023

Appel à la marche unitaire du 23 septembre

Blog de Jean-Luc Mélanchon 01.08.2023bl

Le meurtre de Nahel, tué par un policier à bout portant le 27 juin 2023 à Nanterre, a mis de nouveau la lumière sur ce qui doit cesser : le racisme systémique, les violences policières, et les inégalités sociales que creuse la politique de Macron. Une politique néolibérale imposée par des méthodes autoritaires, des lois sécuritaires et une doctrine du maintien de l’ordre décriée jusque dans les plus grandes instances internationales. Une politique régressive qui fait le lit de l’extrême-droite et piétine toujours plus nos libertés publiques, notre modèle social, notre avenir face à l’effondrement écologique.

En première ligne des victimes de ces choix politiques, les habitant·es, et notamment les jeunes des quartiers populaires et des territoires ultramarins, qui subissent de plein fouet l’aggravation de toutes les inégalités sociales dans un contexte économique d’inflation, de hausse des loyers, des prix de l’énergie et de politiques d’urbanisme brutales. Les réformes de la Macronie accentuent la pauvreté en durcissant notamment l’accès aux prestations sociales. La scandaleuse réforme de l’assurance chômage en est un exemple significatif alors que la précarité au travail augmente.

Les révoltes dans les quartiers populaires ne peuvent s’analyser que dans ce contexte global. Les habitant·es de ces quartiers, et notamment les mères isolées, pallient bien souvent seul·es les carences de services publics dont la destruction s’accélère de jour en jour.

A côté de cela, de nombreuses violences sont perpétrées contre les populations : délocalisation et destruction de l’emploi, évasion et fraude fiscale, mode de vie des ultras riches écocidaire, supers profits des multinationales, modes de production hypers polluants responsables de la crise climatique. Et pour cela, l’Etat laisse faire ! De plus, les populations racisées et/ ou issues des classes sociales défavorisées, des quartiers populaires, des zones rurales et périurbaines appauvries, des territoires ultramarins sont victimes de violences institutionnelles et systémiques, notamment policières.

La politique répressive de l’Etat est encore renforcée par le dernier remaniement ministériel, qui a élargi les compétences du ministère de l’Intérieur à la ville, l’Outre-mer et la citoyenneté. La répression s’étend avec toujours plus d’intensité et de violences policières, d’interdictions de manifester, contre le mouvement social et écologiste, comme lors de la lutte contre la réforme des retraites rejetée par l’immense majorité des travailleur-ses et leurs syndicats et à Sainte-Soline. La liberté associative, directement et indirectement, est de plus en plus mise en cause.

Cette situation est d’autant plus inquiétante que l’institution policière paraît hors de contrôle du pouvoir politique. Des déclarations factieuses de certains syndicats de policiers suite au meurtre de Nahel aux déclarations du Directeur général de la police nationale et à celle du Préfet de police de Paris ainsi que le ministre de l’intérieur, c’est l’institution policière qui aujourd’hui remet en cause l’État de droit, plutôt que de mettre fin à l’impunité des auteurs de violences policières.

Nos organisations syndicales, associations, collectifs, comités de quartiers populaires, de victimes de violences policières et partis politiques se mobilisent ensemble dans la durée pour la convergence des justices antiraciste, sociale et écologique, féministes et pour que cessent les politiques sécuritaires et anti sociales.

La crise démocratique, sociale, politique que nous traversons est très grave.

Nous ne pouvons accepter qu’il y ait encore d’autres morts comme Nahel, ou d’autres blessé.es, victimes des violences policières.

Nous appelons à reprendre la rue samedi 23 septembre, à organiser des manifestations ou d’autres initiatives sur tout le territoire, pour faire front ensemble contre la répression des contestations sociales démocratiques et écologiques, pour la fin du racisme systémique, des violences policières, et pour la justice sociale climatique, féministe et les libertés publiques.

Nous exigeons des réponses immédiates et dans l’urgence :

– abrogation de la loi de 2017 sur l’assouplissement des règles en matière d’usage des armes à feu par les forces de l’ordre ;

– une réforme en profondeur de la police, de ses techniques d’intervention et de son armement

– le remplacement de l’IGPN par un organisme indépendant de la hiérarchie policière et du pouvoir politique ;

– la création d’un service dédié aux discriminations touchant la jeunesse au sein de l’autorité administrative présidée par le Défenseur des droits et le renforcement des moyens de lutte contre le racisme, y compris dans la police ;

– Un plan d’investissement public ambitieux dans les quartiers populaires et sur l’ensemble du territoire pour rétablir les services publics, le financement des associations et des centres sociaux

Marchons toutes et tous ensemble le 23 septembre !


Premières organisations signataires :

Collectifs/comités de quartiers populaires, de victimes de violences policières : Coordination pour la Défense des habitants des Quartiers Populaires, Coordination nationale contre les violences policières, Coordination nationale “Marche 40 ans”, Collectif Justice pour Claude Jean-Pierre, Comité Justice pour Othmane, Collectif Justice et Vérité pour Yanis, Comité Justice pour Alassane, Collectif Stop Violences Policières à Saint-Denis, Comité vérité et justice pour Safyatou, Salif et Ilan, Mémoire en marche Marseille.

Organisations syndicales : CGT, FSU, Union syndicale Solidaires, Fédération Syndicale Étudiante (FSE), Mouvement national lycéen ( MNL ), L’Union étudiante.

Associations et autres collectifs : Alternatiba, ANV-COP21, Attac France, Collectif National pour les Droits des Femmes (CNDF), Coudes à Coudes, Dernière Rénovation, Droit Au Logement (DAL), FASTI (Fédération des Associations de Solidarité avec Tou-te-s les Immigré-e-s), Fédération nationale de la LIbre Pensée, Femmes Egalité, Fondation Copernic, Gisti (Groupe d’information et de soutien des immigré·es), Les Amis de la Terre France, La Révolution est en marche, Marche des Solidarités, Memorial 98, Planning familial, Réseau d’Actions contre l’Antisémitisme et tous les Racismes (RAAR), Association Stop Aux Violences d’État, Alternatiba Paris, Association Intergénérationelle de la Rabière (AIR-37), Association Naya (37), Association Nouveaux Souffle pour l’Insertion Sociale et Professionnelle (ANSIP-37)

Organisations politiques : EELV Europe Ecologie Les Verts, ENSEMBLE Mouvement pour une Alternative de Gauche, Écologiste et Solidaire, LFI – La France insoumise, Front Uni des Immigrations et des Quartiers Populaires ( FUIQP), Gauche démocratique et sociale (GDS), La Gauche Ecosocialiste, Génération.s, Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA), Nouvelle Donne, Parti Communiste des Ouvriers de France (PCOF), Parti Ouvrier Indépendant (POI), Révolution Écologique pour le Vivant (REV), Vivre Ensemble Solidaires en Métropole Tourangelle (VESEMT-37)

DERN

 

vendredi 22 septembre 2023

Un crime dans les montagnes du Maroc : Séisme dans l'Atlas


Par Amal Lahoucine, 25 septembre 2023
 
 "Des études démontrent que l'exploitation des mines dans l'Atlas provoque des tremblements de terre" 

Le point de vue d'Amal Lahoucine, président 
du Syndicat des paysans du Maroc

Selon lui, le séisme du 8 septembre 2023  a été provoqué artificiellement :  Je ne suis pas un blogueur qui fais circuler de fausses informations. Je m'intéresse à la science et cherche à m'instruire dans différents domaines scientifiques : physique, chimie, astrophysique, biologie, physiologie, géologie et autres sciences, je n'ai pas de diplômes universitaires. Ma doctrine est le marxisme. Je souhaite partager mes convictions.
  "L’activité minière, pétrolière et gazière, les barrages hydroélectriques et la fracturation hydraulique provoquent des centaines de tremblements de terre depuis des décennies"
 
Le Maroc avait coopéré avec les Américains sur la technique des pluies artificielles depuis 1986. La première expérience dans ce domaine a été faite à Ourika, dans le Haouz, en août 1995. Elle a produit des inondations qui ont provoqué des morts.  Je connais bien le sujet. : les sociétés impérialistes et sionistes d'exploitation des mines au Maroc travaillent depuis la fin des années 1970 sur les constituants géologiques des montagnes de l'Atlas. La conclusion qu'elles en ont tirée est que les montagnes de l'Atlas contiennent de très grandes richesses en or,  argent et uranium.
En 1998 au cours de travaux sur les constituants géologiques du Siroua et  de l'Anti-Atlas, nous avons rencontré des ingénieurs géologues,  ils nous ont parlé de ces trésors précieux. Un tremblement de terre artificiel est le résultat de l'injection de produits qui activent l'uranium, explosif nucléaire contenu naturellement dans les  roches. Lors du tremblement du 8 septembre des rayons lumineux de différentes couleurs dans le ciel et ce, même loin des épicentres de Taliouine et d'Arghen. D'après des scientifiques anglais, la puissance de ce séisme serait égale à trente fois la bombe atomique tombée sur Hiroshima.

 Depuis 2014 l'exploitation des mines de l'Atlas a été multipliée : Akka à Tata ; Siroua à Taliouine : Amizmiz à Marrakech,

Igerm et Arghen à Taroudant et d'autres, ailleurs au Maroc. Les sociétés d'exploitation de ces mines avaient dynamité l'intérieur de ces montagnes, jusqu'à des niveaux critiques (entre 6 et 9 Km de profondeur). Elles utilisent des explosifs puissants qui  bousculent les montagnes,  provoquent des failles énormes et touchent les environs des fosses sismiques.  Des études démontrent que l'exploitation des mines provoque des tremblements de terre, dont les secousses ont ébranlé les murs des maisons à Imoulass, Tamaloukte, Taroudant. Depuis 2014, des secousses sismiques de faibles intensité touchent les villes de Taroudant, Agadir et Taliouine et leurs régions entre les monts Siroua et Toubkal. 

Le centre de prédiction sismique du Maroc précise que les épicentres de ces secousses sont Amskroud à Agadir, Imi-n-Tanout et Chihuahua à Marrakech. Cette année, les sondages de mines dans les montagnes de l'Atlas se sont multipliés. Une grande usine est en train d'être implantée dans la région d'Igherm. Les mines d'Igherm et d'Arghen  transportent le minerai par camions à l'usine Akka à Tata. Un barrage est programmé sur l'oued Arghen et un canal d'eau désalée    est en train d'être reliéde l’Océan Atlantique à l'usine d'Igherm. 

L'eau n'est plus destinée à l'agriculture dans les montagnes, l’industrie  passe avant l'agriculture, les paysans doivent se transformer en ouvrier miniers ou quitter les lieux.
 Les séismes artificiels auraient un double objectif : activer les réactions des constituants miniers en facilitant l’exploitation des mines ce qui, à la même occasion , chasserait  les paysans de leurs terres, pour être occupées par les sociétés de transactions. 

Conclusion: des expériences de séismes artificiels ont été pratiquées au Maroc dans les montagnes du Haut et Anti-Atlas  depuis 2014 et la plus violente a eu lieu le 08 septembre 2023.
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Liens sur les séismes d’origine humaine, réalisés dans différents pays :

Géothermie

Lacs de barrage

 

Rassemblement le 23 septembre : Non a à la politique répressive du gouvernement

 


Non a à la politique répressive du gouvernement
La crise démocratique, sociale, est très grave ! 

A l’issue d’une mobilisation historique contre la réforme des retraites, le gouvernement a imposé, sans vote, une réforme rejetée par l’immense majorité de la population. Il s’agit de deux années de retraite volées aux salariés, alors que la population et les salariés ne décolèrent pas.
Le gouvernement toujours isolé et affaibli, a décidé d’activer la répression physique et judiciaire contre des militants syndicalistes ayant résisté pacifiquement et par tous les moyens. Des syndicalistes ont été placé en garde à vue après des descentes de police à 6h du maƟn, à leur domicile, comme de vulgaires criminels. Cette répression est intolérable et doit cesser.

Nous, organisaƟons syndicales Cgt, FO, Solidaires et FSU des Hautes Alpes avons soutenu,dernièrement, le syndicaliste Sébastien Menesplier, Secrétaire Fédéral CGT énergie et secrétaire confédéral comme nous apportions notre soutien aux milliers de syndicalistes pourchassés pour leur action de lutte contre la réforme
Les organisations syndicales des Hautes Alpes se joignent à l’appel
national à manifester contre la répression, pour défendre la liberté et la
démocratie.

Sans liberté il n’y a pas de revendication

Pour les libertés et la démocratie –   

Contre la politique de  répression                                             
Nous appelons au rassemblement devant

la Préfecture  de Gap

samedi 23 septembre à 14h00
                    




samedi 23 septembre à 14h00

lundi 18 septembre 2023

Communiqué: Sur la candidature des Régions AURA et PACA aux J.O d’hiver de 2030

Communiqué: Sur la candidature des Régions AURA et PACA aux J.O d’hiver de 2030

Wauquier et Muselier croient bon d’engager leur région dans une candidature pour accueillir les J.O d’hiver en 2030. 

Nos deux compères pensent profiter de l’engouement sur-joué pour les JO de Paris en 2024 pour rendre populaire leur démarche. S’ils obtiennent l’organisation des JO d’hiver en 2030, ceux-ci interviendront l’année d’après les Jeux d’hiver asiatique en 2029 en Arabie Saoudite ! La symbolique sera très forte : Arabie Saoudite, AURA, PACA même combat contre les enjeux climatiques.

Ce projet a-t-il un sens alors que nous vivons un intense réchauffement climatique ? La réponse a l’évidence, est non ! Vue la hausse constante des températures restera-t-il de la neige ? Déjà les stations de moyenne montagne ferment et démontent leurs installations, les glaciers ont perdu un tiers de leur volume, la sécheresse menace de façon constante, et comme on dit dans les Alpes :« il n’y a plus d’hiver » ! Faudra-t-il des usines à neige ou bien la faire venir de l’Himalaya ? Ce déni incompréhensible de la situation par nos élu·es est irrationel alors que les risques climatiques ne peuvent que s’accroître.

Il va falloir accomplir des travaux pour préparer les sites, améliorer leurs accès, (par exemple prolonger l’autoroute au-delà de Gap, construire de nouveaux hôtels, etc..). Nous allons faire face à des « Grands Travaux Inutiles », qui vont détruire des biotopes fragiles, compliquer la vie des habitants qui sont déjà en panne de logements et les nouveaux profiteront aux touristes alors qu’actuellement les régions AURA et PACA sont incapables de loger les saisonniers.

Nous ne parlons même pas du coût financier. Les JO se font toujours à perte, c’est-à-dire conduisent à un endettement qui sera massivement comblé par les impôts des non pratiquant·es des sports de montagne.

La résistance s’organise : à Embrun les 15, 16 et 17 septembre, trois jours de manifestations et de lutte contre ce projet insensé sont en train de s’organiser.

La Montagne entre en rébellion : oui à l’accueil digne des personnes en migration, non à l’accueil de grands travaux inutiles, oui à la lutte contre le réchauffement climatique, non à un programme insensé qui ne servira que les banques et les riches ! Notre choix est clair : tout pour que la planète reste habitable.

Ensemble!05 - PACG


 

mercredi 13 septembre 2023

Maroc : le silence gênant de Mohammed VI

Séisme.
 
 Depuis Paris, où il séjournait, Mohammed VI a tardé à s’exprimer après le terrible tremblement de terre qui a frappé son pays, s’étonne la presse internationale.
Le roi Mohammed VI lors d’une séance de travail au Palais Royal au lendemain du séisme, à Rabat, le 9 septembre 2023.
Le roi Mohammed VI lors d’une séance de travail au Palais Royal au lendemain du séisme, à Rabat, le 9 septembre 2023. PHOTO MOROCCAN NEWS AGENCY / via REUTERS

Dix-neuf heures, c’est le temps qu’il aura fallu à Mohammed VI pour réagir après la pire catastrophe qui a frappé son pays, note Ignacio Cembrero dans les colonnes d’El Confidencial.

Depuis la France, où il séjournait, le monarque marocain s’est exprimé le 9 septembre au soir, à travers une déclaration officielle dans laquelle il décrétait trois jours de deuil et ordonnait le déploiement d’un programme d’urgence pour venir en aide aux victimes.

Un problème de gouvernance

Mais jusqu’à la publication, détaille l’hebdomadaire espagnol, le royal silence a contraint toutes les autres autorités marocaines à adopter la même attitude. Ni le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, pourtant originaire de la région touchée, ni le ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit, ne se sont exprimés ni ne se sont rendus dans les endroits les plus durement touchés par le tremblement de terre. À l’échelon local, même absence de réaction et attentisme des autorités.

Le seul membre de la famille royale à avoir dérogé à cette réserve du roi a été le prince Moulay Hicham, son cousin germain. Le “Prince rouge”, son surnom en raison de ses positions réformatrices sur la monarchie, a exprimé sa solidarité avec le peuple marocain depuis sa résidence de Boston.

L’autre exception notable que relève El Confidencial est celle des Forces armées royales (FAR), qui, sur leur compte X (ex-Twitter), ont indiqué sobrement aux Marocains : “Votre sécurité et votre protection sont notre priorité absolue.”

Cette communication illustre, selon l’analyse critique que fait le média espagnol, “le problème de gouvernance dont souffre le Maroc”. Alors que le roi concentre la quasi-totalité du pouvoir exécutif, selon la Constitution, ses absences répétées du pays peuvent peser sur le fonctionnement même des rouages étatiques.

De très longues absences

Le Financial Times relevait déjà mi-août que les voyages du monarque à l’étranger “avaient suscité des inquiétudes et bloqué la prise de décisions” dans son pays.

Son titre, constate le quotidien financier britannique, n’est en effet pas que protocolaire, puisque la Constitution lui confère “un pouvoir quasi absolu”, qui fait de lui “le décideur ultime dans les affaires économiques et politiques” du pays.

Or ses longues périodes d’absence – “parfois des mois”, note le Financial Times – en France et au Gabon ont été concomitantes, en 2022, de nombreux problèmes que son pays a connus, notamment une inflation élevée, la sécheresse et une croissance faible.

Avant le Financial Times, c’était The Economist qui s’étonnait en avril des très longues absences du monarque, dans un article qui a fait du bruit dans le pays, affirme le FT, qui y fait référence dans son enquête.

Selon le décompte donné par l’hebdomadaire britannique, pour la seule année 2022, le roi aurait été absent de son pays pendant deux cents jours.

“Pendant une grande partie de 2022, il a partagé son temps entre un manoir près de la tour Eiffel et un château aux hauts murs dans les collines de Betz, dans le nord-est [de la France].”

Certes, notait encore The Economist, le Maroc a échappé à la vague dite du “printemps arabe”, qui a secoué certains pays en 2011, notamment grâce à des réformes constitutionnelles décidées à-propos et à une institution monarchique encore solide. Mais le pays, avertissait aussitôt l’hebdomadaire, reste socialement fragile

 

mercredi 6 septembre 2023

>Monsieur le ministre de l’éducation nationale, nous venons d’horizons divers ... l’éducation nationale, nous venons d’horizons divers


"Monsieur le ministre de l’éducation nationale, nous venons d’horizons divers, écrivains, philosophes, psychiatres, professeurs, chanteurs, rappeurs, acteurs, journalistes… Nous sommes des parents et grands-parents tristes, désarmés. Des citoyens en colère mais combatifs. En cette rentrée scolaire, nous vous écrivons, monsieur le ministre, pour vous faire part d’un constat qui nous brûle, qui renvoie à l’avenir de nos enfants et dont, étonnamment, personne ne parle. Parce qu’il est trop dérangeant ?

Une grande partie de nos enfants ne lisent plus et peinent à écrire. Ils peinent à écrire au sens d’articuler leur pensée et de raisonner. Nous parlons de nos enfants de 7 à 10 ans, de nos adolescents, de la génération tout-écran et bientôt intelligence artificielle [IA].

Nous parlons de la conjonction inédite de trois phénomènes majeurs dont on n’a pas encore, semble-t-il, réellement anticipé les effets, explosifs, pour les années à venir : la citoyens en colère; la toute-puissance des écrans dans le cerveau des jeunes à propos de laquelle les scientifiques, les professionnels de l’enfance et les enseignants tirent le signal d’alarme depuis des années ; l’expansion fulgurante de l’IA qui, demain, risque de penser à notre place. Nous ne voulons plus être frappés par le même déni que celui qui concerne la crise climatique.

Nous ne parlons pas ici de l’orthographe. Son niveau catastrophique n’est que la partie émergée de l’iceberg ; et « une dictée courte par jour », comme le préconisait votre prédécesseur pour redresser le niveau de français, n’y changera rien. L’expression écrite n’est pas suffisamment valorisée dans le primaire, le lieu où s’insufflent les fondamentaux, où éclot l’envie. Et ce malgré l’immense volonté des enseignants, qui exercent (avec les soignants) le métier le plus fondamental à l’heure actuelle, car ils touchent à notre nerf vital : notre jeunesse.

Donner du sens

En proie à des programmes surchargés, les professeurs ne peuvent faire avec des classes de vingt-cinq et plus en primaire (trente et plus dans le secondaire) ce que l’on peut accomplir en petits groupes, tant les niveaux sont hétérogènes, tant ils doivent si souvent gérer bien plus que les stricts apprentissages, dont des troubles de l’attention qui ne cessent d’être diagnostiqués. Alors, comme nous le disent des instituteurs, la dictée, exercice évaluatif, est souvent la principale – voire l’unique – porte d’entrée de l’écrit dans le primaire.

Savoir écrire ne se réduit pas à aligner des phrases, mais à donner du sens à ce que l’on écrit. Ce sens que nous cherchons tous et dont les enfants d’aujourd’hui, soumis à de multiples injonctions contradictoires, dans un monde volatile, virtuel et illisible pour eux, ont tellement besoin.

Apprendre à écrire, c’est apprendre à penser, à fixer ses idées, à communiquer, à s’émanciper. A développer son esprit critique. C’est être présent, s’inventer un monde intérieur. C’est pouvoir se relier à soi-même et à l’autre par les mots. Que se passera-t-il demain si ces notions essentielles à la fondation de tout être humain, de toute société, de toute civilisation sont battues en brèche ?

Nous le savons tous et c’est aussi ce qui nous rend si inquiets : la violence, les fractures sociales se nourrissent de l’absence de mots, de pensée. Et les extrêmes, si menaçants aujourd’hui, se nourrissent de la violence.

Beaucoup d’enseignants résistent, témoignant d’une foi inaltérable. Ici et là, des initiatives associatives et individuelles fleurissent aussi, telles Lire et faire lire, fondé en 1999 par Alexandre Jardin, ou Le Labo des histoires, qui depuis 2011 fait écrire chaque année quelques milliers de jeunes. En février, grâce au bouche-à-oreille, soixante-dix parents sont venus à un atelier d’écriture créative pour les 7 à 10 ans créé par Delphine Saubaber, journaliste, prix Albert-Londres, pour des petits groupes de huit enfants. L’actrice et romancière Isabelle Carré l’a rejointe pour écrire avec les ados. Tant d’autres initiatives existent mais ce sont des gouttes d’eau anonymes dans la mer.

Au soir de son investiture, le 7 mai 2022, le président de la République a dit vouloir « servir nos enfants et notre jeunesse ». Nous lisons l’énergie déployée pour réformer les retraites. Cinq cents millions d’euros débloqués pour développer l’intelligence artificielle en France. « Nous devons faire émerger cinq à dix clusters », nous dit le président, pour « créer des champions ». « Je suis pour la réussite de ceux qui investissent dans l’économie », insiste-t-il.

Créez un temps obligatoire d’écriture

Quand nous parlera-t-on de nos enfants ? Quand parlera-t-on à notre jeunesse qui grandit en sachant que la planète que nous leur laissons brûlera demain ? Ces jeunes dont les mots sont si flottants, si angoissés et si profonds, pour peu qu’on les écoute. Notre devoir est de leur léguer, en plus d’un monde vivable, le socle et la réflexion nécessaires au lieu de les laisser se perdre derrière des écrans qu’il faut apprendre à utiliser de manière consciente. « Il est grand temps de rallumer les étoiles », disait Apollinaire.

L’école, comme l’hôpital, se délite. Quelle disruption majeure donnera à ce service public qui fonctionne depuis des années à plusieurs vitesses (entre privé et public, entre quartiers, entre les parents qui ont le temps et les moyens de faire lire et écrire leurs enfants et ceux qui ne l’ont pas) la puissante reconnaissance qu’elle mérite tout en lui accordant les moyens de se refonder en profondeur ?

Vous venez, monsieur Attal, d’être nommé ministre de l’éducation nationale. Saisissez cette occasion. Redonnez déjà à l’écrit, dès le primaire, ses lettres de noblesse.

Créez dès le CE1 un temps obligatoire de trente minutes par jour d’écriture créative ou d’expression libre (écrire une lettre, un récit de science-fiction, un livre, un discours, un journal, un slam, une pièce de théâtre, une série télé, des calligrammes, une antenne radio, etc.). Mettez les enfants sur des projets qui revêtent sens et plaisir pour eux. Dégagez du temps pour les élèves, pour les enseignants.

Favorisez les petits groupes pour l’apprentissage de l’écriture. Faites entrer plus d’intervenants dans les écoles (philosophes, scientifiques, journalistes, artistes…), et surtout dans les collèges, pour épauler les professeurs et développer avec eux la pensée critique, si indispensable aujourd’hui. Etendez l’éducation aux médias. Soutenez les initiatives en dehors de l’école, les associations. Tenez un véritable discours politique sur les dérives des écrans. Et soyons réalistes : tout cela doit venir sur la base d’une revalorisation des moyens accordés prioritairement à l’éducation nationale. Plus d’enseignants, moins d’élèves par classe. C’est un chantier collectif absolument indispensable et urgent.

Nous ne voulons pas de mesurettes. Nous voulons une véritable culture de la lecture et de l’écriture, accompagnée d’un usage intelligent des nouvelles technologies. Aidons nos enfants à acquérir une pensée autonome, humaine, empathique, structurée, libre. Ils seront demain nos dirigeants politiques et économiques, nos décideurs, nos champions.

Forgeons un esprit de résistance à travers les mots, ces mots qui servent à bâtir des valeurs communes ayant pour nom tolérance, curiosité, altérité, sans quoi, demain, la pensée sera vide. Peut-on se le permettre ?

Pierre Adrian, écrivain ; Abd Al Malik, rappeur, auteur-compositeur-interprète, réalisateur ; Jean-Pierre Améris, réalisateur ; Swann Arlaud, acteur ; Yann Arthus-Bertrand, photographe, réalisateur, président de la fondation GoodPlanet ; Jacques Attali, écrivain, économiste ; Elisabeth Badinter, femme de lettres, philosophe ; Tahar Ben Jelloun, écrivain, académie Goncourt ; Alain Bentolila, professeur de linguistique à l’université Paris-Descartes ; Thomas Bidegain, scénariste ; Bertrand Bonello, réalisateur, scénariste, producteur ; Sami Bouajila, acteur ; Emmanuelle Bucco-Cancès, directrice générale des éditions HarperCollins France ; Hervé Brusini, journaliste, président du prix Albert Londres ; Manuel Carcassonne, directeur général des éditions Stock ; Véronique Cardi, directrice générale des éditions JC Lattès ; Isabelle Carré, actrice, écrivaine ; Didier van Cauwelaert, écrivain, Prix Goncourt ; Sorj Chalandon, écrivain ; Boris Cyrulnik, neurologue, psychiatre, éthologue, psychanalyste ; Jamel Debbouze, humoriste, acteur ; Vincent Dedienne, humoriste, acteur ; Carole Delga, présidente de Régions de France ; Clara Dupont-Monod, écrivaine, journaliste ; Lionel Duroy, écrivain ; Gaël Faye, rappeur, écrivain ; Cynthia Fleury, philosophe ; Eric Fottorino, journaliste, écrivain ; Bertrand Gaufryau, directeur de lycée ; Robert Gelli, procureur général honoraire, ex-directeur des affaires criminelles et des grâces ; Brigitte Giraud, écrivaine, Prix Goncourt ; Roland Gori, psychanalyste, professeur honoraire de psychopathologie à Aix-Marseille Université ; Grand Corps Malade, slameur, poète, auteur-compositeur-interprète, réalisateur ; Mahir Guven, Prix Goncourt du premier roman, directeur littéraire du label La Grenade ; Catherine Hiegel, actrice ; Delphine Horvilleur, écrivaine, rabbin ; Irène Jacob, actrice ; Hugues Jallon, président des éditions du Seuil ; Philippe Jaenada, écrivain ; Agnès Jaoui, actrice ; Alexandre Jardin, écrivain, cofondateur de Lire et faire lire ; Alexis Jenni, écrivain, Prix Goncourt ; Juliette Joste, éditrice chez Grasset ; Cloé Korman, écrivaine ; Cécile Ladjali, professeure de lettres, écrivaine, directrice du programme Baudelaire ; Dany Laferrière, écrivain, membre de l’Académie française ; Pierre Lemaitre, écrivain ; Murielle Magellan, écrivaine, réalisatrice ; Mathias Malzieu, chanteur, musicien, écrivain ; Nicolas Mathieu, écrivain, Prix Goncourt ; Mohamed Mbougar Sarr, écrivain, Prix Goncourt ; François Morel, humoriste, acteur ; Edgar Morin, sociologue, philosophe ; Marie Rose Moro, pédopsychiatre, cheffe de service de la Maison des adolescents de l’hôpital Cochin à Paris ; Pierre Nora, historien, membre de l’Académie française ; Véronique Olmi, écrivaine ; Véronique Ovaldé, écrivaine ; Anna Pavlowitch, directrice générale des éditions Albin Michel ; Magali Payen, activiste écologiste, fondatrice d’On est prêt et d’Imagine 2050 ; Daniel Pennac, écrivain ; Daniel Picouly, écrivain ; Raphael, auteur-compositeur-interprète, musicien ; Eric Reinhardt, écrivain, éditeur d’art ; Renaud, auteur-compositeur-interprète ; Matthieu Ricard, moine bouddhiste, essayiste, photographe ; Eve Ricard, orthophoniste, écrivaine ; Philippe Robinet, directeur général des éditions Calmann-Lévy ; Delphine Saubaber, journaliste, prix Albert-Londres ; Eric-Emmanuel Schmitt, écrivain ; Anne Sinclair, journaliste ; Martin Solveig, DJ, producteur ; Anne-Sophie Stefanini, romancière, éditrice ; Ahmed Sylla, humoriste, acteur ; Melissa Theuriau, journaliste, productrice de documentaires.


 







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