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lundi 24 avril 2023

Du bruit de casseroles pour fêter un an de reelection de Macron










Joel


 



Ne doutez jamais qu'un petit nombre de personnes volontaires et réfléchies peut changer le monde en mieux ;  en fait, cela se passe toujours ainsi."

 
[ inspiré de Margaret Mead ]




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retrouvez Ensemble 05
son blog : http://jceyraud.blogspirit.com/
son journal en ligne : http://www.alpternatives.org
site national : https://www.ensemble-fdg.org/

 

vendredi 21 avril 2023

Eid mubarak !

Aujourd’hui, le quartier est en fête. 
En ce 21 avril, tout le monde est sur son 31. Beaucoup de petites filles en robe blanche et leurs frères en djellaba assortie, portant des gâteaux, parents détendus, grappes d’hommes sortant de la mosquée concentrés ou joyeux… Je me laisse imbiber de ces effluves de bonheur simple et contagieux, et, les croisant, je lance : eid mubarak ! Après une fraction d’étonnement, les oh merci, merci beaucoup me répondent, les regards se croisent et communient, les enfants sourient ou rigolent… La rue s’attendrit sous le soleil qui baigne ce dernier jour de ramadan.

 

Le procès du commerce équitable", une pièce humoristique et interactive, le mardi 16 mai

Le procès du commerce équitable", une pièce humoristique et interactive, le mardi 16 mai

Boîte de réception

E'changeons le Monde via gmail.mcsv.net 

jeu. 20 avr. 21:17 (il y a 20 heures)


À moi

Dans le cadre de la Quinzaine du Commerce équitable,
E'changeons le Monde vous propose une pièce de théâtre

Mardi 16 mai à 19 h. l'usine Badin
(séance scolaire à 10 h)

Billets en vente dès à présent à E'changeons le Monde

 




Agir ensemble pour un commerce équitable
E'changeons le Monde
Un commerce pas comme les autres
17 rue Jean Eymar  - GAP  
 
 

 

samedi 15 avril 2023

Attac : Après la décision du Conseil constitutionnel : 64 ans c’est toujours non !

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14 avr. 2023 20:46 (il y a 12 heures)



 
Communiqué du avril 2023

 

C'est toujours non !

 
 
 

Après trois mois d’une mobilisation sans précédent contre la réforme des retraites, le Conseil constitutionnel vient de valider l’essentiel de la réforme et de rejeter la possibilité d’un Référendum d’Initiative Populaire (RIP). Les « sages » valident donc le passage en force du gouvernement pour imposer envers et contre tout le report de l’âge légal de 62 à 64 ans avec allongement de la durée de cotisation à 43 ans.

 
 
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Le Conseil Constitutionnel devait se prononcer sur les nombreux procédés antidémocratiques utilisés par le gouvernement : recours à un projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale, ainsi qu’aux articles 44-3, 47-1 et 49-3 pour étouffer le débat démocratique et parlementaire.

Ses 9 membres, nommés par le président, le Sénat et l’Assemblée, n’ont donc rien trouvé à redire aux manœuvres de l’exécutif. Et ce alors même que le projet du gouvernement s’est vu opposer un mouvement social d’une durée et d’une ampleur historique, soutenu par une écrasante majorité de la population. Une mobilisation qui par ailleurs fait l’objet d’une violente répression, provoquant une indignation d’ampleur nationale et internationale.

Le Conseil constitutionnel a manqué une occasion historique de s’affirmer comme le garant de la démocratie et des libertés face aux coups de force du gouvernement et à l’instrumentalisation d’un PLFRSS et de certains articles de la constitution aux seules fins d’imposer brutalement sa réforme.

Mais sa décision n’ébranle en rien notre détermination. Nous ne lâcherons rien et nous continuerons à combattre cette réforme injuste et injustifiée, dont l’illégitimité est désormais patente. Plus encore, nous continuerons à dénoncer et combattre le projet d’un gouvernement au service des plus riches, dont la violence sociale n’a jamais été aussi évidente.

Continuons le combat : dès ce soir 14 avril, Attac appelle à se rassembler sur les places pour dénoncer la décision du Conseil constitutionnel de valider la réforme. Dans les prochains jours, nous nous mobiliserons pour exiger le retrait et la non application de cette réforme !


Vous pouvez nous aider financièrement à mener nos mobilisations : nos ressources reposent uniquement sur les adhésions et les dons. Tous les soutiens sont les bienvenus !

 
 
75011 PARIS
France

Boîte de réception

 









vendredi 14 avril 2023

Les Sahraouis des camps de réfugiés ont besoin de toute notre solidarité.

La jeune génération en particulier ne connaît l'histoire de son peuple que par les récits sincères de ses parents et grands-parents.
Nous ne devons pas comparer les jeunes d'aujourd'hui à ceux d'hier. Les temps ont complètement changé.
Après 47 ans, l'espoir et la foi en une solution au conflit du Sahara occidental sont presque tombés à zéro.
La jeunesse d'aujourd'hui est aussi bonne qu'à l'époque. Les temps ont complètement changé.
L'aide internationale diminue constamment. C'est encore loin, pour ne pas tout dire.
Quel est l'avenir des jeunes des camps ? À quoi sert leur éducation, son master ? À quoi ça sert d'acheter des fruits, des légumes, du thé, des articles d'hygiène... ? Malheureusement, le bénévolat à lui seul ne permet à personne de survivre, ni en Suisse ni dans les camps de réfugiés sahraouis.
La jeune génération des camps de réfugiés sahraouis me touche de très près.

 

lundi 3 avril 2023

Avant les mégabassines, la bataille de Sivens, le film avant le livre


Avant les mégabassines, la bataille de Sivens, le film avant le livre
  
La Guillotine - Les éditions qui tranchent
editionlaguillotine@gmail.com
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Un film de Cédric Rutter, en accès libre, réalisé en 2023, 9 ans après la suspension des travaux d'un barrage qui a détruit plusieurs hectares de forêt et une zone humide remarquable. A un moment, où des mégabassines sont en construction, l'histoire va-t-elle se répéter ? Certains disent "La Bataille de l'eau a commencé''. Non, elle continue.
 
VISIONNER LE FILM

SYNOPSIS - Film sans voix off. Forêt de Sivens, dans le Tarn, c'est là où devait être créée en 2014 une retenue d'eau, un projet contesté dès qu'il est connu du public suite à la mise à jour de nombreux dysfonctionnements. Cependant, le Département, porteur du projet, ne veut en aucun cas écouter les arguments adverses. En janvier, quelques personnes décident de s'installer sur la zone. De premières violences sont commises par des personnes en faveur du barrage. Si bien que le groupe de départ se trouve renforcé dans sa détermination. Peu à peu, une ''zone à défendre'' s'établit. Mais contrairement à ce que voulurent faire croire les bénéficiaires du projet, quelques élus, la FNSEA et la presse locale, les opposants n'étaient pas que des « écolo radicaux venus d'ailleurs ». La population locale a été de plus en plus nombreuse à se manifester contre cette construction vue comme inutile et destructrice. En septembre, les travaux commencent sous protection policière. La zone est détruite en quelques jours. Dans la nuit du 25 au 26 octobre, un manifestant, Remi Fraisse, est tué par la gendarmerie.

Les chroniques de cette lutte sortiront en livre en septembre. Pour le commander déjà, vous pouvez nous contacter dès maintenant.

  Ce livre n’est pas qu’un reportage. L’auteur avec délicatesse, sans jamais se mettre en avant, nous emmène dans un monde qui nous amène à réfléchir sur notre responsabilité quant à cette violence. Il nous amène également à des parallèles inattendus..
François Delarbre

Ce livre est très bon, à la fois comme récit sincère et personnel d’une expérience de découverte et de rencontres et comme travail journalistique, avec des interviews intéressantes et dont la variété rend compte de bien des problématiques qui secouent ce pays et dont l’auteur a su saisir et rendre l’essentiel.
Pierre Semet