5/5/2017
Rabat a rejeté une nouvelle fois sur l'Algérie la responsabilité du blocage d'une cinquantaine de Syriens coincés à la frontière des deux pays, affirmant refuser de régulariser des migrants arrivés par des frontières fermées.
"Ils ont traversé le territoire algérien sans être interceptés par les autorités de ce pays. La responsabilité revient donc à l'Algérie", a déclaré vendredi à l'AFP le ministre délégué chargé des affaires de la migration, Abdelkrim Benatiq. "Les frontières avec l'Algérie sont fermées (depuis 1994, ndlr). Or, si on encourage des gens à venir via des frontières fermées, la situation sera incontrôlable, et nous serons menacés des deux côtés", a-t-il prévenu.
Le 22 avril, le Maroc avait déjà accusé Alger d'avoir expulsé vers sa frontière, ce groupe de 55 Syriens, dont des femmes et des enfants "dans une situation très vulnérable", pour "semer le trouble" sur la frontière et "générer un flux migratoire incontrôlable".
Lire l'article
"Ils ont traversé le territoire algérien sans être interceptés par les autorités de ce pays. La responsabilité revient donc à l'Algérie", a déclaré vendredi à l'AFP le ministre délégué chargé des affaires de la migration, Abdelkrim Benatiq. "Les frontières avec l'Algérie sont fermées (depuis 1994, ndlr). Or, si on encourage des gens à venir via des frontières fermées, la situation sera incontrôlable, et nous serons menacés des deux côtés", a-t-il prévenu.
Le 22 avril, le Maroc avait déjà accusé Alger d'avoir expulsé vers sa frontière, ce groupe de 55 Syriens, dont des femmes et des enfants "dans une situation très vulnérable", pour "semer le trouble" sur la frontière et "générer un flux migratoire incontrôlable".
Lire l'article
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire