mars 21, 2018 - 8:12
Sarra Lina
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Par Karim B. –
Ils se nomment Sarkozy, Guigou, Lang, Pargneaux, Dati, Chauprade,
Carteron, etc. La liste est longue. Ils sont d’horizons politiques
différents mais ont tous un point commun : des fins de carrière
politique des plus humiliantes et une inféodation sans borne au Makhzen.
L’ancien président français qui n’était même plus en mesure de passer le cap des primaires lors des dernières élections présidentielles en France, a été cueilli ce mardi 20 mars dès son arrivée en provenance de la ville de Dakhla occupée, au Sahara Occidental, où il assistait au Forum Crans-Montana organisé par l’autre obligé de Rabat, Jean-Paul Carteron, et emmené dardar dans les locaux de la police judiciaire de Nanterre où il est placé en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur les financements libyens de sa campagne présidentielle de 2007. Après avoir accueilli Kadhafi dans les jardins de l’Élisée avec tente et «bagages», la malédiction des milliers de morts libyens dont il est le principal responsable n’est pas étrangère à sa descente aux enfers ; mais aussi celle des Sahraouis dont il vient de fouler les terres injustement et avec arrogance, ainsi que tous les autres marocains opprimés dans la région du Rif, Al-Hoceima, Jerada, oppression dont il s’est rendu complice à travers son mutisme et des louanges appuyés rendus à «sa majesté» Mohammed VI.
L’autre native de Marrakech, Elisabeth Guigou et son mari Jean-Louis du même nom, faisant partie des fondateurs du think tank IPEMed financé par la famille du président tunisien déchu Zine El-Abidine Ben Ali – la preuve que ça mange à tous les râteliers –, viennent aussi de passer quelques jours sur le bateau de croisière italien Rhapsodie, qui a servi comme lieu d’hébergement aux «convives» du Forum Crans-Montana, durant lequel elle a réaffirmé son soutien au plan d’autonomie marocain, faisant fi des souffrances du peuple sahraoui, du droit international et du droit tout court ; elle qui était censée porter les valeurs morales, ayant exercé des années durant en tant que ministre de la Justice, au même titre que son autre comparse et néanmoins compatriote Rachida Dati, qui a fini sur la voie de garage du Parlement européen après une décadence annoncée.
Lire l'article https://www.algeriepatriotique.com/.../politicards-francais-humilies-fin-de-cycle-servic...
L’ancien président français qui n’était même plus en mesure de passer le cap des primaires lors des dernières élections présidentielles en France, a été cueilli ce mardi 20 mars dès son arrivée en provenance de la ville de Dakhla occupée, au Sahara Occidental, où il assistait au Forum Crans-Montana organisé par l’autre obligé de Rabat, Jean-Paul Carteron, et emmené dardar dans les locaux de la police judiciaire de Nanterre où il est placé en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur les financements libyens de sa campagne présidentielle de 2007. Après avoir accueilli Kadhafi dans les jardins de l’Élisée avec tente et «bagages», la malédiction des milliers de morts libyens dont il est le principal responsable n’est pas étrangère à sa descente aux enfers ; mais aussi celle des Sahraouis dont il vient de fouler les terres injustement et avec arrogance, ainsi que tous les autres marocains opprimés dans la région du Rif, Al-Hoceima, Jerada, oppression dont il s’est rendu complice à travers son mutisme et des louanges appuyés rendus à «sa majesté» Mohammed VI.
L’autre native de Marrakech, Elisabeth Guigou et son mari Jean-Louis du même nom, faisant partie des fondateurs du think tank IPEMed financé par la famille du président tunisien déchu Zine El-Abidine Ben Ali – la preuve que ça mange à tous les râteliers –, viennent aussi de passer quelques jours sur le bateau de croisière italien Rhapsodie, qui a servi comme lieu d’hébergement aux «convives» du Forum Crans-Montana, durant lequel elle a réaffirmé son soutien au plan d’autonomie marocain, faisant fi des souffrances du peuple sahraoui, du droit international et du droit tout court ; elle qui était censée porter les valeurs morales, ayant exercé des années durant en tant que ministre de la Justice, au même titre que son autre comparse et néanmoins compatriote Rachida Dati, qui a fini sur la voie de garage du Parlement européen après une décadence annoncée.
Lire l'article https://www.algeriepatriotique.com/.../politicards-francais-humilies-fin-de-cycle-servic...
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