GENEVE- Le Mouvement international de réconciliation (MIR) a mis en
garde le Conseil des droits de l'Homme de l'ONU contre la politique
marocaine visant à opérer un changement démographique radical au Sahara
occidental occupé, à travers le transfert de milliers de colons des
villes marocaines, dans le cadre d'une violation flagrante du droit
international et de la Déclaration de Vienne.
Selon le MIR, "Cela intervient alors que le peuple sahraoui est
toujours privé de son droit à l'autodétermination, mettant en péril la
crédibilité de l'ONU".
Dans une intervention au nom du MIR lors des travaux de la 8e séance plénière de la 37e session du Conseil des droits de l'Homme à Genève, la militante sahraouie des droits de l'Homme, Salka Dahi Bachir a indiqué que "le peuple sahraoui attend depuis 26 ans, que la communauté internationale tienne ses promesses, en mettant fin à ses souffrances, endurées sous le joug de l'occupation marocaine illégale, depuis plus de quatre décennies".
Le MIR a déploré les positions de la communauté internationale vis-à-vis de la politique marocaine au Sahara Occidental occupé, fondée sur la discrimination et la haine à l'égard des Sahraouis, rappelant les souffrances du peuple sahraoui dans les camps des réfugiés.
Dans une intervention au nom du MIR lors des travaux de la 8e séance plénière de la 37e session du Conseil des droits de l'Homme à Genève, la militante sahraouie des droits de l'Homme, Salka Dahi Bachir a indiqué que "le peuple sahraoui attend depuis 26 ans, que la communauté internationale tienne ses promesses, en mettant fin à ses souffrances, endurées sous le joug de l'occupation marocaine illégale, depuis plus de quatre décennies".
Le MIR a déploré les positions de la communauté internationale vis-à-vis de la politique marocaine au Sahara Occidental occupé, fondée sur la discrimination et la haine à l'égard des Sahraouis, rappelant les souffrances du peuple sahraoui dans les camps des réfugiés.
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