Le message de Lucie Castets à la gauche : plus de « mobilisation » et une « union très large »
Quel avenir pour le Nouveau Front populaire qui commence à craquer, et dont bien des dirigeants n’ont désormais qu’une idée en tête : la présidentielle de 2027 ? L’ex-candidate à Matignon de la coalition électorale est l’invitée de notre émission « À l’air libre ».
Le 23 juillet, après deux semaines de tergiversations, Lucie Castets était désignée candidate du Nouveau Front populaire (NFP) au poste de première ministre.
Matignon est désormais occupé par Michel Barnier, issu de la droite LR (Les Républicains), qui gouverne en alliance avec les macronistes. Le tout sous surveillance de l’extrême droite...
Le NFP, qui déposait ce mardi sa première motion de censure contre le gouvernement Barnier, aurait-il pu éviter ce scénario ? C'est en tout cas ce qu’affirment plusieurs figures du Parti socialiste (PS) ou de Place publique qui réclament de rompre avec La France insoumise (LFI).
Après la grande mobilisation électorale du début de l’été, les partis de gauche auraient-ils oublié qu’ils ne feront pas plus de 30 % aux élections s’ils ne sont pas unis et décidés à convaincre davantage d’électeurs et électrices ?
Comment entretenir la mobilisation des élections législatives ?
Gouvernement Barnier, budget d’austérité annoncé cette semaine, clivages au PS et à LFI, ambitions présidentielles des un·es et des autres, mais aussi son propre engagement politique : Lucie Castets répond aux questions de Mediapart.
Une émission animée par Mathieu Magnaudeix.
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