par
Aboubakr Jamai, Le Monde diplomatique, juillet 2017
La
persistance de la contestation populaire dans le nord-est du Maroc et
ses revendications de mieux-être social mettent en relief l’échec des
programmes de développement économique et des projets d’infrastructure
pilotés par la monarchie. Malgré la répression, l’ampleur des
manifestations pose la question d’une nouvelle réforme constitutionnelle
sur des bases plus ambitieuses qu’en 2011.
Manifestation à Al-Hoceïma, 2017. Photo Louis Witter / hanslucas.com

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