Ce jeune homme est mort. Mais pas d’une mort naturelle. L’État voyou l’a tué… il s’appelle Imad, son nom sonne musical et lui est si beau ! Dans la fleur de l’âge Imad avait des rêves. L’avenir lui appartenait. Il avait une dulcinée, ses amours et ses désirs… La fureur de vivre, d’aimer, il aspirait à une société prospère et à un État de Droit… à un pays où il fait bon vivre…
Il participait à une manifestation pacifique, où il revendiquait avec les autres manifestants ses droits, la dignité, la justice sociale, la décence d’une vie où il est « citoyen » à part entière et non un « sujet », non un esclave d’un pouvoir autoproclamé, non légitime puisque non élu…
La vie
humaine pour l’État-voyou ne compte pas et ne mérite pas l’existence !
Sa mort ne peut rester impunie, ainsi que la mort de tant de jeunes, tués par un pouvoir voyou qui doit être traduit devant un tribunal international…
Sa mort ne peut rester impunie, ainsi que la mort de tant de jeunes, tués par un pouvoir voyou qui doit être traduit devant un tribunal international…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire