A LA UNE POLITIQUE INTERNATIONAL Publié le 18/10/2017 à 13h18 par Maud Ninauve, au Maroc.
Un an après la mort d’un vendeur de poissons à Al Hoceima, la province du nord est toujours en proie à une violente contestation que le « Makhzen », l’appareil d’Etat, ne parvient pas à contenir
Un an après la mort d’un vendeur de poissons à Al Hoceima, la province du nord est toujours en proie à une violente contestation que le « Makhzen », l’appareil d’Etat, ne parvient pas à contenir
La nuit est tombée, Ghizlane dépose son sac et sa poussette dans la
soute à bagages. Chaque mardi depuis six mois, un car est affrété depuis
Al Hoceima jusqu’à Casablanca pour permettre aux familles des
prisonniers du mouvement Hirak de les visiter. À tour de rôle, une
soixantaine de personnes entame ce voyage marathon de 1 200 km sur trois
jours. « Nous sommes évidemment épuisés, moralement, physiquement et
même financièrement, mais ma fille de deux ans a besoin de voir son
père, je dois tenir ».
http://www.sudouest.fr/…/dans-le-rif-marocain-la-guerre-pac…
https://images.sudouest.fr/…/des-protestants-du-hirak-lors-…
Des protestants du Hirak lors d’une manifestation, le 11 juin dernier. FADEL SENNA/AFP
http://www.sudouest.fr/…/dans-le-rif-marocain-la-guerre-pac…
https://images.sudouest.fr/…/des-protestants-du-hirak-lors-…
Des protestants du Hirak lors d’une manifestation, le 11 juin dernier. FADEL SENNA/AFP
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire