samedi 8 février 2020

Sahara : Arrogant, le Maroc, aurait tracé des lignes rouges au successeur d’Horst Köhler


Le Maroc aurait mis des lignes rouges au mandat du successeur de Horst Köhler. D’après nos informations, Rabat aurait opposé son veto à tout élargissement des prérogatives de l’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU, exigeant qu’il reste à l’écart des questions des droits de l’Homme, des ressources naturelles et des mesures censées rétablir la confiance.
Pour le royaume, la mission principale du médiateur consiste essentiellement à aider les parties à parvenir à une solution politique mutuellement acceptable.
Le Maroc aurait également insisté sur la présence de l’Algérie dans les pourparlers en tant que partie prenante dans le conflit. Le voisin de l’Est tient pourtant à se présenter comme un «pays observateur», sauf que ses dernières sorties condamnant les ouvertures d’ambassades et de consulats de pays africains à Laâyoune et Dakhla, et ce bien avant le mouvement de Brahim Ghali, l’ont trahies.  
Rabat aurait appelé le prochain envoyé personnel à rester fidèle au modèle lancé par Horst Köhler, lors des deux rounds de la «Table ronde de Genève» de décembre 2018 et mars 2019 : une présence directe de l’Algérie, du Maroc, de la Mauritanie et du Front dans le processus de paix.

Le Maroc aurait également mis l’accent sur l’exclusivité et le leadership des Nations unies pour continuer l'examen du dossier du Sahara occidental, rejetant par la même occasion toute ingérence de l’Union africaine.
Pour rappel, hier à Addis-Abeba, en marge de sa participation au conseil exécutif de l’UA, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a déclaré que le «processus de sélection» d’un successeur à l’ancien président allemand était «en cours».
 La rédaction Journaliste Yabiladi.com
 L'arrogance du Maroc n'a décidément pas de limites ![solidmar]

Politique Publié

Sahara : Le Maroc aurait tracé des lignes rouges au successeur d’Horst Köhler

Temps de lecture: 1'
Siège du ministère des Affaires étrangères à Rabat. / DR
Le Maroc aurait mis des lignes rouges au mandat du successeur de Horst Köhler. D’après nos informations, Rabat aurait opposé son veto à tout élargissement des prérogatives de l’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU, exigeant qu’il reste à l’écart des questions des droits de l’Homme, des ressources naturelles et des mesures censées rétablir la confiance.
Pour le royaume, la mission principale du médiateur consiste essentiellement à aider les parties à parvenir à une solution politique mutuellement acceptable.
Le Maroc aurait également insisté sur la présence de l’Algérie dans les pourparlers en tant que partie prenante dans le conflit. Le voisin de l’Est tient pourtant à se présenter comme un «pays observateur», sauf que ses dernières sorties condamnant les ouvertures d’ambassades et de consulats de pays africains à Laâyoune et Dakhla, et ce bien avant le mouvement de Brahim Ghali, l’ont trahies.
Rabat aurait appelé le prochain envoyé personnel à rester fidèle au modèle lancé par Horst Köhler, lors des deux rounds de la «Table ronde de Genève» de décembre 2018 et mars 2019 : une présence directe de l’Algérie, du Maroc, de la Mauritanie et du Front dans le processus de paix.
Le Maroc aurait également mis l’accent sur l’exclusivité et le leadership des Nations unies pour continuer l'examen du dossier du Sahara occidental, rejetant par la même occasion toute ingérence de l’Union africaine.
Pour rappel, hier à Addis-Abeba, en marge de sa participation au conseil exécutif de l’UA, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a déclaré que le «processus de sélection» d’un successeur à l’ancien président allemand était «en cours».


...Suite : https://www.yabiladi.com/articles/details/88938/sahara-maroc-aurait-trace-lignes.html
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Siège du ministère des Affaires étrangères à Rabat. / DR
Le Maroc aurait mis des lignes rouges au mandat du successeur de Horst Köhler. D’après nos informations, Rabat aurait opposé son veto à tout élargissement des prérogatives de l’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU, exigeant qu’il reste à l’écart des questions des droits de l’Homme, des ressources naturelles et des mesures censées rétablir la confiance.
Pour le royaume, la mission principale du médiateur consiste essentiellement à aider les parties à parvenir à une solution politique mutuellement acceptable.
Le Maroc aurait également insisté sur la présence de l’Algérie dans les pourparlers en tant que partie prenante dans le conflit. Le voisin de l’Est tient pourtant à se présenter comme un «pays observateur», sauf que ses dernières sorties condamnant les ouvertures d’ambassades et de consulats de pays africains à Laâyoune et Dakhla, et ce bien avant le mouvement de Brahim Ghali, l’ont trahies.
Rabat aurait appelé le prochain envoyé personnel à rester fidèle au modèle lancé par Horst Köhler, lors des deux rounds de la «Table ronde de Genève» de décembre 2018 et mars 2019 : une présence directe de l’Algérie, du Maroc, de la Mauritanie et du Front dans le processus de paix.
Le Maroc aurait également mis l’accent sur l’exclusivité et le leadership des Nations unies pour continuer l'examen du dossier du Sahara occidental, rejetant par la même occasion toute ingérence de l’Union africaine.
Pour rappel, hier à Addis-Abeba, en marge de sa participation au conseil exécutif de l’UA, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a déclaré que le «processus de sélection» d’un successeur à l’ancien président allemand était «en cours».


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Le Maroc aurait mis des lignes rouges au mandat du successeur de Horst Köhler. D’après nos informations, Rabat aurait opposé son veto à tout élargissement des prérogatives de l’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU, exigeant qu’il reste à l’écart des questions des droits de l’Homme, des ressources naturelles et des mesures censées rétablir la confiance.
Pour le royaume, la mission principale du médiateur consiste essentiellement à aider les parties à parvenir à une solution politique mutuellement acceptable.
Le Maroc aurait également insisté sur la présence de l’Algérie dans les pourparlers en tant que partie prenante dans le conflit. Le voisin de l’Est tient pourtant à se présenter comme un «pays observateur», sauf que ses dernières sorties condamnant les ouvertures d’ambassades et de consulats de pays africains à Laâyoune et Dakhla, et ce bien avant le mouvement de Brahim Ghali, l’ont trahies.
Rabat aurait appelé le prochain envoyé personnel à rester fidèle au modèle lancé par Horst Köhler, lors des deux rounds de la «Table ronde de Genève» de décembre 2018 et mars 2019 : une présence directe de l’Algérie, du Maroc, de la Mauritanie et du Front dans le processus de paix.
Le Maroc aurait également mis l’accent sur l’exclusivité et le leadership des Nations unies pour continuer l'examen du dossier du Sahara occidental, rejetant par la même occasion toute ingérence de l’Union africaine.
Pour rappel, hier à Addis-Abeba, en marge de sa participation au conseil exécutif de l’UA, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a déclaré que le «processus de sélection» d’un successeur à l’ancien président allemand était «en cours».


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Pour le royaume, la mission principale du médiateur consiste essentiellement à aider les parties à parvenir à une solution politique mutuellement acceptable.
Le Maroc aurait également insisté sur la présence de l’Algérie dans les pourparlers en tant que partie prenante dans le conflit. Le voisin de l’Est tient pourtant à se présenter comme un «pays observateur», sauf que ses dernières sorties condamnant les ouvertures d’ambassades et de consulats de pays africains à Laâyoune et Dakhla, et ce bien avant le mouvement de Brahim Ghali, l’ont trahies.
Rabat aurait appelé le prochain envoyé personnel à rester fidèle au modèle lancé par Horst Köhler, lors des deux rounds de la «Table ronde de Genève» de décembre 2018 et mars 2019 : une présence directe de l’Algérie, du Maroc, de la Mauritanie et du Front dans le processus de paix.
Le Maroc aurait également mis l’accent sur l’exclusivité et le leadership des Nations unies pour continuer l'examen du dossier du Sahara occidental, rejetant par la même occasion toute ingérence de l’Union africaine.
Pour rappel, hier à Addis-Abeba, en marge de sa participation au conseil exécutif de l’UA, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a déclaré que le «processus de sélection» d’un successeur à l’ancien président allemand était «en cours».


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Le Maroc aurait mis des lignes rouges au mandat du successeur de Horst Köhler. D’après nos informations, Rabat aurait opposé son veto à tout élargissement des prérogatives de l’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU, exigeant qu’il reste à l’écart des questions des droits de l’Homme, des ressources naturelles et des mesures censées rétablir la confiance.
Pour le royaume, la mission principale du médiateur consiste essentiellement à aider les parties à parvenir à une solution politique mutuellement acceptable.
Le Maroc aurait également insisté sur la présence de l’Algérie dans les pourparlers en tant que partie prenante dans le conflit. Le voisin de l’Est tient pourtant à se présenter comme un «pays observateur», sauf que ses dernières sorties condamnant les ouvertures d’ambassades et de consulats de pays africains à Laâyoune et Dakhla, et ce bien avant le mouvement de Brahim Ghali, l’ont trahies.
Rabat aurait appelé le prochain envoyé personnel à rester fidèle au modèle lancé par Horst Köhler, lors des deux rounds de la «Table ronde de Genève» de décembre 2018 et mars 2019 : une présence directe de l’Algérie, du Maroc, de la Mauritanie et du Front dans le processus de paix.
Le Maroc aurait également mis l’accent sur l’exclusivité et le leadership des Nations unies pour continuer l'examen du dossier du Sahara occidental, rejetant par la même occasion toute ingérence de l’Union africaine.
Pour rappel, hier à Addis-Abeba, en marge de sa participation au conseil exécutif de l’UA, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a déclaré que le «processus de sélection» d’un successeur à l’ancien président allemand était «en cours».


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Le Maroc aurait mis des lignes rouges au mandat du successeur de Horst Köhler. D’après nos informations, Rabat aurait opposé son veto à tout élargissement des prérogatives de l’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU, exigeant qu’il reste à l’écart des questions des droits de l’Homme, des ressources naturelles et des mesures censées rétablir la confiance.
Pour le royaume, la mission principale du médiateur consiste essentiellement à aider les parties à parvenir à une solution politique mutuellement acceptable.
Le Maroc aurait également insisté sur la présence de l’Algérie dans les pourparlers en tant que partie prenante dans le conflit. Le voisin de l’Est tient pourtant à se présenter comme un «pays observateur», sauf que ses dernières sorties condamnant les ouvertures d’ambassades et de consulats de pays africains à Laâyoune et Dakhla, et ce bien avant le mouvement de Brahim Ghali, l’ont trahies.
Rabat aurait appelé le prochain envoyé personnel à rester fidèle au modèle lancé par Horst Köhler, lors des deux rounds de la «Table ronde de Genève» de décembre 2018 et mars 2019 : une présence directe de l’Algérie, du Maroc, de la Mauritanie et du Front dans le processus de paix.
Le Maroc aurait également mis l’accent sur l’exclusivité et le leadership des Nations unies pour continuer l'examen du dossier du Sahara occidental, rejetant par la même occasion toute ingérence de l’Union africaine.
Pour rappel, hier à Addis-Abeba, en marge de sa participation au conseil exécutif de l’UA, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a déclaré que le «processus de sélection» d’un successeur à l’ancien président allemand était «en cours».


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