La secrétaire générale d'AI a également plaidé auprès du chef de la diplomatie espagnole de contribuer à «l'abrogation des lois (marocaines, ndlr) qui pénalisent les activités liées à l'exercice pacifique du droit à la liberté d'expression, l'autorisation de l'enregistrement des organisations indépendantes dans le registre officiel et la fin de l'intimidation des militants et des défenseurs des droits humains».
Agnès Callamard a demandé aussi au gouvernement espagnol de défendre aux Nations unies l’élargissement du mandat de la MINURSO à la surveillance des droits de l’Homme au Sahara. A Madrid, elle a par ailleurs rencontré le ministre de l’Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, et la ministre du Travail, Yolanda Diaz.
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