La diplomatie marocaine a toujours recours au trafic d’influence pour plaider ses thèses concernant le sahara Occidental.
Elle a notamment recours à ces pratiques
en anticipation de la présentation du rapport du secrétaire général de
l’ONU au Conseil de sécurité.
Dans cet exemple, l’Ambassadeur de la
Mission permanente du Maroc auprès des Nations Unies, Mohammed
Loulichki, a approché successivement Miguel De Serpa Soares, conseiller
juridique des Nations Unies et Mme Susana Malcorra, Cheffe de cabinet du
Secrétaire Général.
Le choix de ces deux fonctionnaires de
l’ONU n’est pas fortuit du fait qu’ils contribuaient directement dans la
rédaction du rapport de l’ancien secrétaire Général, Monsieur Ban Ki
Moon. Cette approche est précédée d’un déjeuner de travail afin
d’établir un canal de communication.
La démarche du diplomate marocain est
claire à savoir, influer ces derniers pour les amener à insérer des
passages favorables au Maroc dans le rapport du secrétaire général de
l’ONU.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire