Dans le cadre des Journées nationales des prisons ( https://www.jnp-ndg.be/ index.php/fr/ ), une rencontre
avec deux femmes qui font un travail de terrain dans les prisons et
dans les quartiers populaires aux Etats-Unis et en Italie.
Une
rencontre pour apprendre et débattre de la situation carcérale dans
leurs pays. Un échange sur les solidarités qu’elles essaient de mettre
en pratique face à la prison et aux violences urbaines.
Cette soirée sera aussi l’occasion pour vous présenter le projet Génépi Belgique. (voir présentation plus bas)
(http://solitarywatch.com/ ;ht tp://solitarywatch.com/about- lifelines/ ), où elle supervise un programme
national d’écriture de lettres en prison aux États-Unis, reliant les
personnes détenues en isolement aux correspondants externes. Elle est
également impliquée dans Photo Requests From Solitary, dans laquelle les détenu(e)s en isolement peuvent demander une photo du monde extérieur.
Auparavant, Marlies a travaillé à Brooklyn, New York, dans le cadre d’une initiative communautaire de réduction de la violence appelée Save Our Streets Brooklyn ( https://www.facebook.com/sos brooklyn/ ).
Marlies est passionnée par la réforme pénitentiaire, l’antiracisme et
l’activisme communautaire. Elle poursuit actuellement ses études en
criminologie à la KU Leuven en Belgique.
Auparavant, Marlies a travaillé à Brooklyn, New York, dans le cadre d’une initiative communautaire de réduction de la violence appelée Save Our Streets Brooklyn ( https://www.facebook.com/sos
Giulia Torbidoni est
une journaliste italienne, correspondante à Bruxelles pour
AlaNews-Ansa.
En 2011, elle a fondé et est présidente d’Antigone dans la
région italienne de Marche. Antigone est une association italienne qui travaille pour défendre les droits de l’homme dans le système pénal (http://www.antigone.it/ ). Auparavant, Giulia a fait du bénévolat à la prison d’Ancône et elle a fondé «Fuori Riga»
un magazine fait par des détenus. Elle a mis sur pied trois cours de
musique : piano, guitare et tambour en prison. Elle a travaillé pour
Antigone dans les prisons de Pesaro et Fermo dans le bureau
d’information pour la protection des droits de l’homme pour les détenus.
Elle s’intéresse beaucoup au système carcéral, à la toxicomanie, à la
réintégration des anciens détenus ou des toxicomanes et à la situation migratoire.
Le Génépi Belgique est
une association d’éducation permanente, qui a pris naissance dans la
continuité du Génépi France. Sa vocation est de participer au
décloisonnement de la prison en établissant un lien entre les personnes
incarcérées et le monde extérieur. Il s’agit à la fois d’informer et de
sensibiliser le public extérieur sur les conditions carcérales, et
d’autre part de mener des interventions en prisons (sous forme
d’ateliers, d’information p/r à leurs droits, de soutien scolaire etc.).
Le Génépi Belgique est en contact avec le Génépi France, et fonctionne
par groupes locaux rattaché aux universités francophones (en partenariat
avec profs et chercheurs et reconnus comme cercles au sein de ces
universités mais néanmoins autonomes de celles-ci) (pour le moment ULB,
Saint-Louis et UCL, bientôt Mons?). Ces groupes locaux sont chapeautés
par un comité de pilotage composé de différents professionnels de la
prison (longue expérience vàv du milieu carcéral).
Le Génépi Belgique est indépendant de
toute institution quant à sa réflexion et ses prises de position. Il
propose également une formation obligatoire pour celles et ceux voulant
devenir membres d’une durée d’un an.
Site web : https://genepibelgique. wixsite.com/genepi
QUAND ? : Jeudi 30 novembre 18h-21.30h
Où ? : Espace Citoyen, rue de la Grande Ile, 8 – 1000 Bruxelles
(tout près de la Bourse et de la Place Saint-Géry)
(tout près de la Bourse et de la Place Saint-Géry)
PAF 2 euros pour faire vivre l’Espace citoyen.
SOUPE+PAIN disponible/available à 2 euros.
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