Par A. E. H. 25/1/2018
La cour a décidé de convoquer 31 témoins et de mobiliser un interprète en cas de besoin. La requête relative à une expertise médicale de l’état de santé de l’accusé Jamal Bouhdou, a été reportée pour examen ultérieur. Toutes les autres requêtes préliminaires ont été rejetées.
La décision sur les moyens de forme est également reportée à la décision finale. La défense avait soulevé, entre autres moyens de forme, la nullité des procès verbaux dressés par la BNPJ et l'illégalité des interceptions téléphoniques.
Sur les 54 accusés, 50 sont en état de détention. Certains doivent répondre à de lourdes accusations, la plus grave étant "l'atteinte à la sûreté intérieure de l'Etat en incitant les habitants à porter la dévastation dans un ou plusieurs douars ou localités". Ce crime est puni de la peine de mort (article 201 du code pénal).
Le débat de fond dans le cadre du procès du Hirak, commencera vendredi
26 janvier à la chambre criminelle près la cour d’appel de Casablanca.
La décision est tombée ce jeudi en fin de matinée.
L'information a été immédiatement relayée par Me Mohamed Aghnaj, avocat de la défense.
A partir de ce vendredi, les audiences porteront successivement sur
l'interrogatoire des accusés, l'audition des témoins, la présentation
des pièces à conviction. C'est après que la Cour entendra la partie
civile, les réquisitions du ministère public, les plaidoiries de la
défense et les derniers mot des accusés.
L'information a été immédiatement relayée par Me Mohamed Aghnaj, avocat de la défense.
La cour a décidé de convoquer 31 témoins et de mobiliser un interprète en cas de besoin. La requête relative à une expertise médicale de l’état de santé de l’accusé Jamal Bouhdou, a été reportée pour examen ultérieur. Toutes les autres requêtes préliminaires ont été rejetées.
La décision sur les moyens de forme est également reportée à la décision finale. La défense avait soulevé, entre autres moyens de forme, la nullité des procès verbaux dressés par la BNPJ et l'illégalité des interceptions téléphoniques.
Sur les 54 accusés, 50 sont en état de détention. Certains doivent répondre à de lourdes accusations, la plus grave étant "l'atteinte à la sûreté intérieure de l'Etat en incitant les habitants à porter la dévastation dans un ou plusieurs douars ou localités". Ce crime est puni de la peine de mort (article 201 du code pénal).
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