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Le Conseil des droits de l'Homme appelé à agir
Un appel à l'adresse du Conseil des droits de l'Homme de l'Onu a été lancé pour envoyer des commissions d'enquête dans les territoires occupés du Sahara occidental et d'agir devant les graves violations commises par le régime d'occupation marocain contre la population civile sahraouie, lors d'une rencontre organisée à Genève par le «Groupe de Genève de soutien au Sahara occidental» (GGSSO).
Un appel à l'adresse du Conseil des droits de l'Homme de l'Onu a été
lancé pour envoyer des commissions d'enquête dans les territoires
occupés du Sahara occidental et d'agir devant les graves violations
commises par le régime d'occupation marocain contre la population civile
sahraouie, lors d'une rencontre organisée à Genève par le «Groupe de
Genève de soutien au Sahara occidental» (GGSSO). Dans le cadre de ses
activités en soutien à la cause sahraouie, le GGSSO a organisé au Palais
des Nations, à Genève, mercredi dernier, en marge de la 43e session du
Conseil des droits de l'Homme (HCDH), un évènement parallèle sous forme
de panel de discussions portant sur le thème : «Renforcement de la
coopération entre les mécanismes des Droits de l'Homme de l’Union
africaine et ceux de l’ONU». Ce side-event, qui visait à mettre l'accent
sur le renforcement de la coopération technique du HCDH avec les
représentants légitimes du peuple sahraoui, était marqué par une forte
présence des représentants des missions permanentes, du Front Polisario,
de l'Association américaine des juristes, des ONG et des médias. Dans
leurs interventions, les participants ont réaffirmé leur soutien au
peuple sahraoui pour l'exercice de son droit à l'autodétermination en
dénonçant les multiples et récurrentes manœuvres visant à écarter
l'Union africaine (UA) des discussions sur la question du Sahara
occidental malgré l'adhésion du Maroc à cette organisation continentale
et sa souscription à son acte constitutif.
Ainsi, cette rencontre a connu l'intervention du Chargé d'affaires de Timor-Leste, Francesco Dionitio Fernandez, qui assure la présidence du Groupe, le ministre sahraoui de l'Europe, Oubi Bouchraya, la Vice-ministre de la Justice de Namibie, Lidwina Shapwa, l'illustre militante sahraouie Aminatou Haidar, qui assure la présidence du Collectif des défenseurs sahraouis des droits de l'Homme, le Représentant de la Commission nationale sahraouie des Droits de l'Homme (CONASADH), Hassan Boutzegart, et le directeur général panafricain des avocats, Donald Deya. Le «Groupe de Genève de soutien au Sahara occidental» (GGSSO) est un groupe transrégional composé de 13 pays (Afrique du Sud, Algérie, Angola, Botswana, Cuba, Mozambique, Namibie, Nicaragua, Ouganda, Tanzanie, Timor Leste, Venezuela et Zimbabwe) ainsi que l'Association américaine des Juristes et la représentation du Front Polisario à Genève. L'action de ce groupe porte principalement sur les aspects liés aux droits de l'Homme et aux questions humanitaires au Sahara occidental. A cette occasion, le GGSSO a, également, renouvelé son appel au Haut-Commissaire aux droits de l'Homme pour travailler et renforcer la coopération avec le Front Polisario et mettre en œuvre un programme spécifique comme stipulé dans la résolution de l'Assemblée générale de l'ONU «n 74/95» et les engagements pris par le Bureau lors du premier Sommet humanitaire mondial tenu à Istanbul en 2016.
Dans son intervention, M. Francesco Dionitio Fernandez a déclaré que «faire obstruction au référendum d'autodétermination au Sahara occidental constitue une véritable raison des violations systématiques et graves des droits de l'Homme et des violations persistantes du droit international dans ces territoires», expliquant que «le déni du droit à l'autodétermination du peuple sahraoui est une violation des droits de l'Homme», selon le communiqué publié par la Conférence mondiale sur les droits de l'Homme, qui a souligné l'importance de «la mise en œuvre réelle de ce droit».
Ainsi, cette rencontre a connu l'intervention du Chargé d'affaires de Timor-Leste, Francesco Dionitio Fernandez, qui assure la présidence du Groupe, le ministre sahraoui de l'Europe, Oubi Bouchraya, la Vice-ministre de la Justice de Namibie, Lidwina Shapwa, l'illustre militante sahraouie Aminatou Haidar, qui assure la présidence du Collectif des défenseurs sahraouis des droits de l'Homme, le Représentant de la Commission nationale sahraouie des Droits de l'Homme (CONASADH), Hassan Boutzegart, et le directeur général panafricain des avocats, Donald Deya. Le «Groupe de Genève de soutien au Sahara occidental» (GGSSO) est un groupe transrégional composé de 13 pays (Afrique du Sud, Algérie, Angola, Botswana, Cuba, Mozambique, Namibie, Nicaragua, Ouganda, Tanzanie, Timor Leste, Venezuela et Zimbabwe) ainsi que l'Association américaine des Juristes et la représentation du Front Polisario à Genève. L'action de ce groupe porte principalement sur les aspects liés aux droits de l'Homme et aux questions humanitaires au Sahara occidental. A cette occasion, le GGSSO a, également, renouvelé son appel au Haut-Commissaire aux droits de l'Homme pour travailler et renforcer la coopération avec le Front Polisario et mettre en œuvre un programme spécifique comme stipulé dans la résolution de l'Assemblée générale de l'ONU «n 74/95» et les engagements pris par le Bureau lors du premier Sommet humanitaire mondial tenu à Istanbul en 2016.
Dans son intervention, M. Francesco Dionitio Fernandez a déclaré que «faire obstruction au référendum d'autodétermination au Sahara occidental constitue une véritable raison des violations systématiques et graves des droits de l'Homme et des violations persistantes du droit international dans ces territoires», expliquant que «le déni du droit à l'autodétermination du peuple sahraoui est une violation des droits de l'Homme», selon le communiqué publié par la Conférence mondiale sur les droits de l'Homme, qui a souligné l'importance de «la mise en œuvre réelle de ce droit».
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