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mercredi 29 mars 2023

Hautes Alpes : Jeudi 30 mars deux visites qu'il faudra accueillir en nombre !






URGENT !


 Envoyé : mercredi 29 mars 2023  ACTION : ACCUEIL MINISTRE ET MACRON JEUDI 30 MARS 2023

                                                                                                                               À 10 h, visite du ministre de la transition écologique Buché Le lieu qui nous est communiqué est la manutention à Embrun rue De Lattre de Tassigny, 05200 Embrun
 
À 12h 30, la 2ème visite est celle de Macron qui doit tenir un discours depuis Savines pour présenter le "plan eau". Ce serait peut- être depuis la capitainerie mais sans certitude.

Nous espérons faire un accueil militant à chacun d'eux.

Nous savons que l'accès à ces sites sera très compliqué mais peu importe,
nous devons être au plus près.

Un train part de Gap à 8h26 pour être à Embrun vers 9h10.

Un covoiturage partira du parking Decathlon de Gap à 8h direction Embrun.

Pour les camarades qui viennent du nord du département nous ne sommes
pas en mesure de fixer un lieu et heure de covoiturage mais nous savons
que vous saurez vous organiser.

Bien fraternellement
retrouvez Ensemble 05
son blog : http://jceyraud.blogspirit.com/
son journal en ligne : http://www.alpternatives.org
site national : https://www.ensemble-fdg.org/

 

lundi 27 mars 2023

Georges Ibrahim Abdallah Visite du président de l’AFPS à Georges Ibrahim Abdallah

 Communiqué de l'AFPS

Boîte de réception

AFPS - Association France Palestine Solidarité




Georges Ibrahim Abdallah

Visite du président de l’AFPS à Georges Ibrahim Abdallah

>> Lire le communiqué sur le site de l'AFPS

Le président de l’Association France Palestine Solidarité, Bertrand Heilbronn, a rendu visite à Georges Ibrahim Abdallah ce samedi 25 mars à la prison de Lannemezan. Cette visite était organisée conjointement avec le Collectif 65 pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah et son animateur Daniel Larregola.

Depuis plusieurs années, l’AFPS a inscrit dans ses orientations l’obtention de la libération de Georges Abdallah. Plusieurs militants de l’AFPS lui rendent visite régulièrement, et l’AFPS, au niveau des groupes locaux, notamment du Sud-Ouest, comme au niveau national, participe à la manifestation annuelle d’octobre, devant la prison de Lannemezan, pour réclamer sa libération.

Un tournant a été pris en juin et en octobre 2022, par l’initiative de 12 associations, syndicats et partis politiques, dont l’AFPS est partie prenante, pour exiger sa libération. Les bases de cette initiative sont claires et simples : Georges Abdallah est en prison depuis près de 40 ans, il est libérable depuis 20 ans, le tribunal d’application des peines a prononcé sa libération en 2012, et seul l’acharnement du gouvernement français, sous la pression des États-Unis, a fait échouer sa libération. Nous sommes devant un déni de justice qui fait honte à la France et qui doit cesser.

Cette visite à Georges Ibrahim Abdallah a d’abord été une rencontre avec un homme. Un homme d’une force de caractère exceptionnelle, qui résiste en restant connecté aux affaires du monde, et continue à manifester une solidarité sans faille avec les droits du peuple palestinien dont il suit le combat jour après jour. Une bonne partie de la rencontre a été consacrée à un échange de vues sur la situation en Palestine, - notamment sur le combat des prisonniers politiques palestiniens face au ministre fasciste Ben-Gvir -, et nos engagements pour les droits du peuple palestinien.

Cette rencontre a aussi permis de formuler avec une grande clarté les responsabilités de chacun. C’est aux différentes organisations, groupements, initiatives qu’il appartient de se mobiliser à partir de leur propre identité, dans la diversité de leurs engagements, pour obtenir la libération de Georges Abdallah. Et c’est aux organisations françaises, parce qu’elles connaissent les moyens de mener les campagnes et d’agir sur le pouvoir en France, que revient en premier lieu la responsabilité d’agir.

Cette visite nous a confortés dans notre démarche et dans le sentiment aigu de notre responsabilité. C’est dans l’unité la plus large possible avec nos partenaires, en mobilisant des parlementaires de différents groupes politiques, que nous pourrons de manière efficace interpeller les autorités de notre pays. C’est au plus haut niveau que nous devrons obtenir les décisions nécessaires, - et notamment celle de l’expulsion de Georges Abdallah vers le Liban comme il le souhaite -, qui permettront à la justice de se prononcer de manière effective sur la libération de Georges Abdallah.

Le maintien en détention de Georges Abdallah est un déni du droit et une honte pour la France. Toutes les personnes et organisations attachées au respect du droit ont le devoir de se mobiliser pour y mettre un terme. L’AFPS y prendra toute sa part avec ses partenaires.

Le Bureau national de l'AFPS, 27 mars 2023
--
Association France Palestine Solidarité (AFPS)
21 ter Rue Voltaire 75011 Paris
Tél. : 01 43 72 15 79
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lundi 20 mars 2023

TELQUEL-À nos frères palestiniens, courage…

[Édito] À nos frères palestiniens, courage…

TelQuel <nl@telquel.ma>

  par Réda Dalil

 
 
C’est une période sombre que vivent nos frères palestiniens. Confrontés au gouvernement le plus à droite de l’histoire d’Israël, ils subissent vexations et provocations de plus en plus appuyées. À la tête d’une coalition d’extrémistes de droite et d’ultraorthodoxes, Benyamin Netanyahu ne s’entoure plus d’aucune précaution de langage pour signifier sa détermination à accentuer l’occupation en Cisjordanie.

 

“Le peuple juif a un droit exclusif et inaliénable sur la terre d’Israël”, a-t-il déclaré au moment de la formation de son gouvernement en novembre 2022. Que signifie l’adjectif “exclusif” ? Ni plus ni moins qu’une condamnation de facto de la solution à deux états.
 
Les Palestiniens de Cisjordanie, qui doivent déjà composer avec l’implantation forcée de 700.000 colons israéliens depuis 1967 (soit 1 Israélien juif sur 10), sont priés de se faire une raison. “Mon gouvernement développera l’implantation partout, y compris en Judée Samarie (Cisjordanie, ndlr.)”, assure Netanyahu. À Jérusalem-Est, les destructions de maisons palestiniennes, sous prétexte de constructions illégales, se suivent et se ressemblent.
  
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 Même l’Esplanade des mosquées, pourtant interdite aux Israéliens juifs, a été violée impunément par un des hommes les plus nocifs à la cause palestinienne : Itamar Ben-Gvir. Ce colon ultra-controversé, suprémaciste consommé, fait désormais partie des piliers de la majorité dirigée par Netanyahu. Pour se faire une idée du personnage, rappelons qu’il fut un disciple très motivé du funeste Meir Kahane, un rabbin aux thèses xénophobes.
 
Ben-Gvir a souvent eu maille à partir avec la justice. Son racisme décomplexé lui avait même valu un refus d’incorporation par l’armée. Aujourd’hui, il est à la tête du ministère de la Sécurité nationale. Autrement dit, Ben-Gvir est désormais le chef de la police israélienne. Cela ne s’invente pas…
 
Autre suprémaciste issu du groupement sioniste religieux élevé au rang de ministre des Finances par Netanyahu : Bezalel Smotrich. Outre cette fonction, Smotrich hérite du ministère délégué à la Défense, poste qui place sous sa charge l’administration civile de Cisjordanie. Il supervise aussi un organe de liaison avec l’Autorité palestinienne que lui-même qualifie d’entité terroriste.
 
La place que prennent ces deux figures de l’identitarisme juif au sein de l’Exécutif israélien a relancé le cycle de violence, tout en décomplexant les colons, dont les incursions en territoire palestinien se multiplient, sous les regards souvent impassibles des troupes israéliennes.
 
Ainsi, depuis le début de l’année, 75 Palestiniens ont trouvé la mort sous les balles de l’armée israélienne. Les ripostes du Hamas et des factions armées en Cisjordanie fusent certes, mais, comme toujours, l’équilibre des forces est à ce point défavorable à la partie palestinienne que tout combat est perdu d’avance. À cet étau qui étrangle le peuple palestinien sur ses propres terres, s’ajoutent les tentatives de la coalition identitaire de museler la Cour suprême de l’Etat hébreu. En l’absence d’une constitution écrite, la Cour suprême agit comme seul contrepoids à l’hégémonie de l’Exécutif et de la Knesset, un parlement inféodé à la majorité. Or, Netanyahu, à travers un projet de loi polémique, souhaite priver cette instance de la possibilité de retoquer des lois votées par les élus.
 
Sans bien évidemment s’opposer à la colonisation, la Cour suprême offrait au moins un recours, même infime, aux injustices infligées aux Palestiniens par les colons. La gauche israélienne, les ONG progressistes et même une partie de la droite modérée sont vent debout contre ce qu’ils qualifient d’atteinte à la démocratie, mais la lutte semble vaine.
 
Rattrapé par ses déboires judiciaires, Netanyahu est déterminé à vider la Cour suprême de sa substance, dans le but, entre autres, d’échapper aux condamnations pour fraude, abus de confiance et corruption qui lui pendent au nez. Le peuple palestinien frère est donc victime d’un double calvaire : une droitisation poussée d’Israël assumant la politique de colonisation, et le cynisme d’une classe politique qui, pour s’accaparer les pleins pouvoirs, entraîne le pays dans une dérive autocratique. Les Palestiniens sont en bien mauvaise posture. Ils ont besoin d’un soutien déterminé et vigoureux. Que fera la communauté internationale ? Que feront les pays arabes ? Que fera le Maroc ?
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 NDLR solidmar : Nous soutenons ce juste combat qui ressemble comme un frère à celui que mènent les Sahraouis contre leur envahisseur le roi du Maroc qui réprime et pille impunément toutes ses richesses du peuple sahraoui.

Fragilité des khaïmas

De plus en plus les tentes, les Khaimas, disparaissent du paysage du camp. Vu les températures extrêmes, les vents, les tempêtes de sable, les divertissements sont très chers. La durée de vie d'une khaima est de 4 ans.
L'entretien et l'aménagement intérieur de la tente - la Khaima - sont la tâche des femmes. Les tissus durs doivent être réparés à la main encore et encore..

 

"Khaima ART"

  

 

vendredi 17 mars 2023

49.3. Le bras d'honneur au peuple français


La Macronie, isolée, a choisi de passer en force en utilisant le 49.3 pour imposer sa réforme. L’intersyndicale lui répond par la promesse d’une intensification de la mobilisation. La gauche entend saisir tous les outils disponibles : motion de censure et recours constitutionnel, en plus de lancer une grande campagne pour un référendum.

Vendredi 17 mars 2023
Rassemblement place de la Concorde, à Paris le 16 mars, après l’annonce du 49.3. Thomas Samson/AFP
Rassemblement place de la Concorde, à Paris le 16 mars, après l’annonce du 49.3. Thomas Samson/AFP

Le bras de fer sur la réforme des retraites est loin, très loin, d’être terminé. Le conflit démocratique et social engagé ne fait peut-être que commencer, alors qu’Élisabeth Borne a dégainé le centième 49.3 de l’histoire de la Ve République, jeudi 16 mars, pour priver de vote les députés et imposer son texte à l’Assemblée nationale.

« La mobilisation et les grèves doivent s’amplifier. Le passage en force, avec l’utilisation du 49.3, doit trouver une réponse à la hauteur de ce mépris du peuple », a immédiatement réagi Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT.

« Évidemment, il y aura de nouvelles mobilisations contre la réforme et contre le vice démocratique que constitue l’usage du 49.3, parce que la contestation est extrêmement forte. Le gouvernement ne peut pas ignorer les millions de personnes qui défilent depuis des mois contre ce texte », abonde son homologue de la CFDT, Laurent Berger. L’intersyndicale devait d’ailleurs trancher jeudi soir des futures modalités d’action, avec un durcissement possible du mouvement.

 

jeudi 16 mars 2023

Macron, un Françafricain comme les autres ?


Macron, un Françafricain comme les autres ?

 
par Réda Dalil
 
 
L’énigme Macron devient complexe à résoudre. Difficile en effet pour un esprit rationnel de faire sens de la politique “africaine” du président français. Dès 2017, Emmanuel Macron avait semblé rompre avec la fameuse Françafrique. Un système intégré d’intérêts militaires et économiques, dont la partie immergée de l’iceberg recouvre passe-droits, renvois d’ascenseur et, surtout, une tolérance à peine voilée envers les autocrates.
 
La mansuétude de l’ancienne puissance coloniale vis-à-vis de sa zone d’influence cache bien entendu la volonté de la France de maintenir intactes ses positions dans ce qu’elle considère comme sa chasse gardée.
 
Et il faut dire que la France fait face à une concurrence féroce. L’étendue de l’influence militaire russe, à travers Wagner ; l’hégémonie économique chinoise ; les intérêts turcs de plus en plus prégnants, la présence marocaine, voire l’appétit d’un nouvel acteur, le Brésil, atomisent ce qui fut jadis le pré carré hexagonal.
 
 
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En vérité, l’Afrique n’est plus ce bloc indistinct auquel le vocabulaire postcolonial et de Guerre froide se référait sans distinguo comme un pays unique, sans aspérités. De nos jours, pour reprendre une expression lue dans Le Monde Diplomatique, les États africains “picorent au banquet des alliances.” Cela s’est particulièrement vu, à la sidération des puissances occidentales, lors de l’éclatement du conflit russo-ukrainien.
 
Boudées par de nombreux pays du continent, les résolutions onusiennes anti-russes ont dessillée les regards anachroniques des dirigeants occidentaux. Le Sud global s’émancipe des vieilles tutelles et c’est heureux. L’ablation de l’appendice qui reliait l’Afrique aux anciennes forces impérialistes brouille la donne, génère un nouvel ordre mondial qui prend de court les puissances installées.
 
Avec une boussole qui se détraque, nombre de ces puissances perdent leurs repères. La France actuelle en donne un exemple éclatant. Le président Macron contemple, en 2023, une Afrique méfiante, et surtout, plus soucieuse d’échapper à l’emprise d’un néocolonialisme qui évolue à pas feutrés, mais qui n’en est pas moins résistant.
 
L’échec patent de l’opération Barkhane, censée stopper l’avancée du radicalisme islamiste au Mali, a démontré que l’interventionnisme militaire de la France ne passe plus. Le vocabulaire arrogant du président n’a fait qu’accentuer ce rejet. Nul n’oublie la manière cavalière dont Macron, en 2017, s’était adressé au président burkinabé à Ouagadougou, s’interrogeant si ce dernier était allé “réparer la climatisation”.
 
Nul n’oubliera la posture de donneur de leçons qu’il a eue en face du président de la RDC, Félix Tchisekedi, dont Macron accusera ouvertement le pays d’avoir échoué à bâtir des institutions solides depuis 1994. Oubliant au passage le soutien de la France au Rwanda qui équipe et appuie les rebelles du mouvement M23 dans leurs tentatives de déstabilisation de la RDC.
 
Enfin, nul n’oubliera la légendaire rebuffade de Rabat en réponse à la supposée relation “amicale” qui lierait présentement la France au Maroc. “Les relations ne sont ni amicales, ni bonnes”, a tranché une source gouvernementale marocaine, dans Jeune Afrique. N’en jetez plus !
 
La récente tournée éclair de Macron en Afrique Centrale, sous couvert d’une distanciation affichée avec la Françafrique, aura paradoxalement emmené le président dans la géographie qui la caractérise le plus. Au Congo Brazzaville, chez un pilier de la Françafrique, Denis Sassou N’guessou, au pouvoir depuis 1992 ; chez Ali Bongo au Gabon dont le père en était littéralement le symbole.
 
Il y a donc là un deux poids deux mesures qui semble coller à la peau d’Emmanuel Macron. Sa personnalité paradoxale, teintée d’une arrogance en roue libre, rend ardue toute lecture de la stratégie française pour le continent. Si Macron s’érige comme le champion des mémoires oubliées, et se veut le guérisseur des blessures coloniales, il ne semble pas prêt à assumer clairement la responsabilité de la France dans la guerre du Cameroun, bien qu’une commission ait été mandatée à ce sujet, avec cinq décennies de retard.
 
S’il s’est dit prêt à couper avec le système franc CFA, sur le plan de la pratique, très peu a été effectué pour sauter définitivement le pas de la tutelle monétaire. S’il admet volontiers que la présence militaire de la France en Afrique doit être revue, aucune base n’a été démantelée, le contingent hexagonal dénombrant toujours à 6000 soldats.
 
Certes, Macron a fait de la restitution des œuvres culturelles africaines aux pays d’origine une profession de foi, mais, très honnêtement, là n’est pas le plus important. Marquée par la plaie coloniale, dont le souvenir a été transmis à sa jeunesse, l’Afrique s’attend à des actes concrets de la part de la France. Dont le président, fort d’un double langage et de postures contradictoires, ne fait qu’attiser le rejet, voire la haine.
 
 
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jeudi 9 mars 2023

Débat d’Attac : bataille des retraites, quels enjeux pour le travail ?

 


 

Débat d’Attac : bataille des retraites, quels enjeux pour le travail ?

 
 

Débat en ligne jeudi 9 mars à 19h

 
 

Alors que se profile une nouvelle mobilisation samedi 11 mars, Attac et les Ateliers Travail et Démocratie organisent un débat jeudi 9 mars à 19h sur le thème « La bataille des retraites : quels enjeux pour le travail, la santé... et la vie ? ».

Venez nombreuses et nombreux assister à ce débat sur le site d’Attac.

 
 
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Avec Christine Castejon, analyste du travail ; Thomas Coutrot, économiste ; Marc Loriol, sociologue ; Pascale Molinier, psychologue.

La bataille contre le projet Borne-Macron de réforme des retraites implique des débats démocratiques fondamentaux qui concernent la solidarité sociale, la répartition des richesses, l’égalité entre les hommes et les femmes, mais aussi indissociablement, et peut-être plus fondamentalement encore, les conditions, le sens et la finalité du travail.

C’est cette question du travail, et à partir d’elle les enjeux de la santé et de l’écologie, que nous proposons de mettre au centre de ce webinaire, à partir de plusieurs points de perspective.

Quelles évolutions du travail - salarié, domestique, bénévole - doivent être prises en compte, et quelles propositions de démocratisation du travail peuvent être mises en avant pour critiquer ce projet néolibéral et lui opposer une réforme alternative des retraites, vers un système plus juste, égalitaire et émancipateur ?

A partir des expériences et des réalités du travail, ne faut-il pas questionner radicalement la manière dont sont posés les termes du débat : par exemple, que peut-on entendre par « pénibilité » (qui fait partie des thèmes mis en avant par le gouvernement à l’appui de sa contre-réforme, alors même qu’en 2017, Macron avait supprimé des critères fondamentaux de sa prise en compte), « hors travail » ou « qualité de la vie » ?

Et comment concevoir un système des retraites alternatif, compatible avec l’amélioration de la santé et de la qualité de vie des travailleuses et travailleurs, des usager·es et des habitant·es, une revalorisation du travail du care et un modèle radicalement différent de développement à la hauteur des enjeux écologiques et sociaux de la période ?


Vous pouvez nous aider à mener nos actions et à produire notre expertise citoyenne. Nos ressources reposent uniquement sur les adhésions et les dons. Tous les soutiens sont les bienvenus !

 
 

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