Même le CNDH ami du palais est sommé de se taire !
Driss El Yazami président du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH). ABDELHAK SENNA / AFP
Répression policière et discours sur les droits de
l’Homme ne peuvent plus cohabiter à l’aune des événements qui agitent Al
Hoceima et sa région depuis des mois. Cet attelage impossible a montré
encore une fois ses limites avec la fuite organisée des extraits d’un
rapport accusateur du CNDH destiné à la Justice, provoquant une réplique
furieuse de la frange sécuritaire du régime !
La charge est d’une violence inouïe et elle émane de Barlamane, un site de propagande acquis aux sécuritaires. Son article au canon intitulé « Qui aiguillonne le Conseil d’El Yazami pour attiser les événements d’Al Hoceima après l’accalmie ? », accuse sans fards le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) d’être un instrument de « parties dans le Rif qui refusent un retour au calme
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