A sa deuxième comparution après avoir été traduit devant le tribunal de première instance de Casablanca, la semaine dernière, Omar Radi s'est vu notifier qu'il devra attendre le 5 mars prochain pour une nouvelle audience. A peine commencée ce jeudi, celle-ci a en effet été «reportée à la demande des nouveaux avocats qui se sont joints à la défense du journaliste, afin de préparer leur défense», a déclaré à Yabiladi Me Omar Bendjelloun.
Depuis le 26 décembre 2019, le journaliste et militant Omar Radi est poursuivi pour «outrage à magistrat» sur la base d’une série de tweets publiés sur son compte, où il critique la décision du juge de confirmer en appel les peines prononcées en juin 2018 à l’encontre des militants du Hirak du Rif ayant comparu à Casablanca, notamment Nasser Zefzafi, et dont les peines ont varié d’un à vingt ans de réclusion. Conformément à l’article 263 du Code pénal, Omar Radi encourt un mois à un an de prison. Poursuivi initialement en détention préventive, il a été mis en liberté provisoire, mardi dernier, à la suite d’un recours déposé par ses avocats pour obtenir une réponse positive à leur requête, précédemment rejetée par les juges. Depuis l’arrestation du journaliste, plusieurs sit-in de solidarité se sont tenus à Rabat, Agadir, Paris et Bruxelles. Parallèlement à l’audience reportée de ce jeudi, un sit-in a également eu lieu devant le tribunal. En avril 2019, Omar Radi avait été interrogé par la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) pendant plus de quatre heures, au sujet des mêmes tweets.
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Affaire Omar Radi : Report de l’audience au 5 mars prochain
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janvier 2020 parallèlement à une nouvelle audience du journaliste Omar
Radi, au tribunal de première instance de Casablanca / Ph. Free Omar
Radi
A sa deuxième comparution après avoir été traduit devant le tribunal
de première instance de Casablanca, la semaine dernière, Omar Radi s'est
vu notifier qu'il devra attendre le 5 mars prochain pour une nouvelle
audience. A peine commencée ce jeudi, celle-ci a en effet été «reportée à
la demande des nouveaux avocats qui se sont joints à la défense du
journaliste, afin de préparer leur défense», a déclaré à Yabiladi Me
Omar Bendjelloun.
Depuis le 26 décembre 2019, le journaliste et militant Omar Radi est poursuivi pour «outrage à magistrat» sur la base d’une série de tweets publiés sur son compte, où il critique la décision du juge de confirmer en appel les peines prononcées en juin 2018 à l’encontre des militants du Hirak du Rif ayant comparu à Casablanca, notamment Nasser Zefzafi, et dont les peines ont varié d’un à vingt ans de réclusion.
Conformément à l’article 263 du Code pénal, Omar Radi encourt un mois à un an de prison. Poursuivi initialement en détention préventive, il a été mis en liberté provisoire, mardi dernier, à la suite d’un recours déposé par ses avocats pour obtenir une réponse positive à leur requête, précédemment rejetée par les juges.
Depuis l’arrestation du journaliste, plusieurs sit-in de solidarité se sont tenus à Rabat, Agadir, Paris et Bruxelles. Parallèlement à l’audience reportée de ce jeudi, un sit-in a également eu lieu devant le tribunal. En avril 2019, Omar Radi avait été interrogé par la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) pendant plus de quatre heures, au sujet des mêmes tweets.
Depuis le 26 décembre 2019, le journaliste et militant Omar Radi est poursuivi pour «outrage à magistrat» sur la base d’une série de tweets publiés sur son compte, où il critique la décision du juge de confirmer en appel les peines prononcées en juin 2018 à l’encontre des militants du Hirak du Rif ayant comparu à Casablanca, notamment Nasser Zefzafi, et dont les peines ont varié d’un à vingt ans de réclusion.
Conformément à l’article 263 du Code pénal, Omar Radi encourt un mois à un an de prison. Poursuivi initialement en détention préventive, il a été mis en liberté provisoire, mardi dernier, à la suite d’un recours déposé par ses avocats pour obtenir une réponse positive à leur requête, précédemment rejetée par les juges.
Depuis l’arrestation du journaliste, plusieurs sit-in de solidarité se sont tenus à Rabat, Agadir, Paris et Bruxelles. Parallèlement à l’audience reportée de ce jeudi, un sit-in a également eu lieu devant le tribunal. En avril 2019, Omar Radi avait été interrogé par la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) pendant plus de quatre heures, au sujet des mêmes tweets.
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de première instance de Casablanca, la semaine dernière, Omar Radi s'est
vu notifier qu'il devra attendre le 5 mars prochain pour une nouvelle
audience. A peine commencée ce jeudi, celle-ci a en effet été «reportée à
la demande des nouveaux avocats qui se sont joints à la défense du
journaliste, afin de préparer leur défense», a déclaré à Yabiladi Me
Omar Bendjelloun.
Depuis le 26 décembre 2019, le journaliste et militant Omar Radi est poursuivi pour «outrage à magistrat» sur la base d’une série de tweets publiés sur son compte, où il critique la décision du juge de confirmer en appel les peines prononcées en juin 2018 à l’encontre des militants du Hirak du Rif ayant comparu à Casablanca, notamment Nasser Zefzafi, et dont les peines ont varié d’un à vingt ans de réclusion.
Conformément à l’article 263 du Code pénal, Omar Radi encourt un mois à un an de prison. Poursuivi initialement en détention préventive, il a été mis en liberté provisoire, mardi dernier, à la suite d’un recours déposé par ses avocats pour obtenir une réponse positive à leur requête, précédemment rejetée par les juges.
Depuis l’arrestation du journaliste, plusieurs sit-in de solidarité se sont tenus à Rabat, Agadir, Paris et Bruxelles. Parallèlement à l’audience reportée de ce jeudi, un sit-in a également eu lieu devant le tribunal. En avril 2019, Omar Radi avait été interrogé par la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) pendant plus de quatre heures, au sujet des mêmes tweets.
Depuis le 26 décembre 2019, le journaliste et militant Omar Radi est poursuivi pour «outrage à magistrat» sur la base d’une série de tweets publiés sur son compte, où il critique la décision du juge de confirmer en appel les peines prononcées en juin 2018 à l’encontre des militants du Hirak du Rif ayant comparu à Casablanca, notamment Nasser Zefzafi, et dont les peines ont varié d’un à vingt ans de réclusion.
Conformément à l’article 263 du Code pénal, Omar Radi encourt un mois à un an de prison. Poursuivi initialement en détention préventive, il a été mis en liberté provisoire, mardi dernier, à la suite d’un recours déposé par ses avocats pour obtenir une réponse positive à leur requête, précédemment rejetée par les juges.
Depuis l’arrestation du journaliste, plusieurs sit-in de solidarité se sont tenus à Rabat, Agadir, Paris et Bruxelles. Parallèlement à l’audience reportée de ce jeudi, un sit-in a également eu lieu devant le tribunal. En avril 2019, Omar Radi avait été interrogé par la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) pendant plus de quatre heures, au sujet des mêmes tweets.
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...Suite : https://www.yabiladi.com/articles/details/87389/affaire-omar-radi-report-l-audience.html Politique [Video] Publié Le 02/01/2020 à 15h05 Affaire Omar Radi : Report de l’audience au 5 mars prochain Temps de lecture: 1' Sit-in le 2 janvier 2020 parallèlement à une nouvelle audience du journaliste Omar Radi, au tribunal de première instance de Casablanca / Ph. Free Omar Radi A sa deuxième comparution après avoir été traduit devant le tribunal de première instance de Casablanca, la semaine dernière, Omar Radi s'est vu notifier qu'il devra attendre le 5 mars prochain pour une nouvelle audience. A peine commencée ce jeudi, celle-ci a en effet été «reportée à la demande des nouveaux avocats qui se sont joints à la défense du journaliste, afin de préparer leur défense», a déclaré à Yabiladi Me Omar Bendjelloun. Depuis le 26 décembre 2019, le journaliste et militant Omar Radi est poursuivi pour «outrage à magistrat» sur la base d’une série de tweets publiés sur son compte, où il critique la décision du juge de confirmer en appel les peines prononcées en juin 2018 à l’encontre des militants du Hirak du Rif ayant comparu à Casablanca, notamment Nasser Zefzafi, et dont les peines ont varié d’un à vingt ans de réclusion. Conformément à l’article 263 du Code pénal, Omar Radi encourt un mois à un an de prison. Poursuivi initialement en détention préventive, il a été mis en liberté provisoire, mardi dernier, à la suite d’un recours déposé par ses avocats pour obtenir une réponse positive à leur requête, précédemment rejetée par les juges. Depuis l’arrestation du journaliste, plusieurs sit-in de solidarité se sont tenus à Rabat, Agadir, Paris et Bruxelles. Parallèlement à l’audience reportée de ce jeudi, un sit-in a également eu lieu devant le tribunal. En avril 2019, Omar Radi avait été interrogé par la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) pendant plus de quatre heures, au sujet des mêmes tweets. Portrait de La rédaction La rédaction Journaliste Yabiladi.com Contacter l'auteur Voir tous ses articles Suivre omar_radi liberte_expression proces maroc Suivre Yabiladi Recevoir des alertes ...Suite : https://www.yabiladi.com/articles/details/87389/affaire-omar-radi-report-l-audience.html
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audience. A peine commencée ce jeudi, celle-ci a en effet été «reportée à
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Depuis le 26 décembre 2019, le journaliste et militant Omar Radi est poursuivi pour «outrage à magistrat» sur la base d’une série de tweets publiés sur son compte, où il critique la décision du juge de confirmer en appel les peines prononcées en juin 2018 à l’encontre des militants du Hirak du Rif ayant comparu à Casablanca, notamment Nasser Zefzafi, et dont les peines ont varié d’un à vingt ans de réclusion.
Conformément à l’article 263 du Code pénal, Omar Radi encourt un mois à un an de prison. Poursuivi initialement en détention préventive, il a été mis en liberté provisoire, mardi dernier, à la suite d’un recours déposé par ses avocats pour obtenir une réponse positive à leur requête, précédemment rejetée par les juges.
Depuis l’arrestation du journaliste, plusieurs sit-in de solidarité se sont tenus à Rabat, Agadir, Paris et Bruxelles. Parallèlement à l’audience reportée de ce jeudi, un sit-in a également eu lieu devant le tribunal. En avril 2019, Omar Radi avait été interrogé par la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) pendant plus de quatre heures, au sujet des mêmes tweets.
Depuis le 26 décembre 2019, le journaliste et militant Omar Radi est poursuivi pour «outrage à magistrat» sur la base d’une série de tweets publiés sur son compte, où il critique la décision du juge de confirmer en appel les peines prononcées en juin 2018 à l’encontre des militants du Hirak du Rif ayant comparu à Casablanca, notamment Nasser Zefzafi, et dont les peines ont varié d’un à vingt ans de réclusion.
Conformément à l’article 263 du Code pénal, Omar Radi encourt un mois à un an de prison. Poursuivi initialement en détention préventive, il a été mis en liberté provisoire, mardi dernier, à la suite d’un recours déposé par ses avocats pour obtenir une réponse positive à leur requête, précédemment rejetée par les juges.
Depuis l’arrestation du journaliste, plusieurs sit-in de solidarité se sont tenus à Rabat, Agadir, Paris et Bruxelles. Parallèlement à l’audience reportée de ce jeudi, un sit-in a également eu lieu devant le tribunal. En avril 2019, Omar Radi avait été interrogé par la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) pendant plus de quatre heures, au sujet des mêmes tweets.
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Depuis le 26 décembre 2019, le journaliste et militant Omar Radi est poursuivi pour «outrage à magistrat» sur la base d’une série de tweets publiés sur son compte, où il critique la décision du juge de confirmer en appel les peines prononcées en juin 2018 à l’encontre des militants du Hirak du Rif ayant comparu à Casablanca, notamment Nasser Zefzafi, et dont les peines ont varié d’un à vingt ans de réclusion.
Conformément à l’article 263 du Code pénal, Omar Radi encourt un mois à un an de prison. Poursuivi initialement en détention préventive, il a été mis en liberté provisoire, mardi dernier, à la suite d’un recours déposé par ses avocats pour obtenir une réponse positive à leur requête, précédemment rejetée par les juges.
Depuis l’arrestation du journaliste, plusieurs sit-in de solidarité se sont tenus à Rabat, Agadir, Paris et Bruxelles. Parallèlement à l’audience reportée de ce jeudi, un sit-in a également eu lieu devant le tribunal. En avril 2019, Omar Radi avait été interrogé par la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) pendant plus de quatre heures, au sujet des mêmes tweets.
Depuis le 26 décembre 2019, le journaliste et militant Omar Radi est poursuivi pour «outrage à magistrat» sur la base d’une série de tweets publiés sur son compte, où il critique la décision du juge de confirmer en appel les peines prononcées en juin 2018 à l’encontre des militants du Hirak du Rif ayant comparu à Casablanca, notamment Nasser Zefzafi, et dont les peines ont varié d’un à vingt ans de réclusion.
Conformément à l’article 263 du Code pénal, Omar Radi encourt un mois à un an de prison. Poursuivi initialement en détention préventive, il a été mis en liberté provisoire, mardi dernier, à la suite d’un recours déposé par ses avocats pour obtenir une réponse positive à leur requête, précédemment rejetée par les juges.
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Depuis le 26 décembre 2019, le journaliste et militant Omar Radi est poursuivi pour «outrage à magistrat» sur la base d’une série de tweets publiés sur son compte, où il critique la décision du juge de confirmer en appel les peines prononcées en juin 2018 à l’encontre des militants du Hirak du Rif ayant comparu à Casablanca, notamment Nasser Zefzafi, et dont les peines ont varié d’un à vingt ans de réclusion.
Conformément à l’article 263 du Code pénal, Omar Radi encourt un mois à un an de prison. Poursuivi initialement en détention préventive, il a été mis en liberté provisoire, mardi dernier, à la suite d’un recours déposé par ses avocats pour obtenir une réponse positive à leur requête, précédemment rejetée par les juges.
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Depuis le 26 décembre 2019, le journaliste et militant Omar Radi est poursuivi pour «outrage à magistrat» sur la base d’une série de tweets publiés sur son compte, où il critique la décision du juge de confirmer en appel les peines prononcées en juin 2018 à l’encontre des militants du Hirak du Rif ayant comparu à Casablanca, notamment Nasser Zefzafi, et dont les peines ont varié d’un à vingt ans de réclusion.
Conformément à l’article 263 du Code pénal, Omar Radi encourt un mois à un an de prison. Poursuivi initialement en détention préventive, il a été mis en liberté provisoire, mardi dernier, à la suite d’un recours déposé par ses avocats pour obtenir une réponse positive à leur requête, précédemment rejetée par les juges.
Depuis l’arrestation du journaliste, plusieurs sit-in de solidarité se sont tenus à Rabat, Agadir, Paris et Bruxelles. Parallèlement à l’audience reportée de ce jeudi, un sit-in a également eu lieu devant le tribunal. En avril 2019, Omar Radi avait été interrogé par la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) pendant plus de quatre heures, au sujet des mêmes tweets.
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Depuis le 26 décembre 2019, le journaliste et militant Omar Radi est poursuivi pour «outrage à magistrat» sur la base d’une série de tweets publiés sur son compte, où il critique la décision du juge de confirmer en appel les peines prononcées en juin 2018 à l’encontre des militants du Hirak du Rif ayant comparu à Casablanca, notamment Nasser Zefzafi, et dont les peines ont varié d’un à vingt ans de réclusion.
Conformément à l’article 263 du Code pénal, Omar Radi encourt un mois à un an de prison. Poursuivi initialement en détention préventive, il a été mis en liberté provisoire, mardi dernier, à la suite d’un recours déposé par ses avocats pour obtenir une réponse positive à leur requête, précédemment rejetée par les juges.
Depuis l’arrestation du journaliste, plusieurs sit-in de solidarité se sont tenus à Rabat, Agadir, Paris et Bruxelles. Parallèlement à l’audience reportée de ce jeudi, un sit-in a également eu lieu devant le tribunal. En avril 2019, Omar Radi avait été interrogé par la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) pendant plus de quatre heures, au sujet des mêmes tweets.
Depuis le 26 décembre 2019, le journaliste et militant Omar Radi est poursuivi pour «outrage à magistrat» sur la base d’une série de tweets publiés sur son compte, où il critique la décision du juge de confirmer en appel les peines prononcées en juin 2018 à l’encontre des militants du Hirak du Rif ayant comparu à Casablanca, notamment Nasser Zefzafi, et dont les peines ont varié d’un à vingt ans de réclusion.
Conformément à l’article 263 du Code pénal, Omar Radi encourt un mois à un an de prison. Poursuivi initialement en détention préventive, il a été mis en liberté provisoire, mardi dernier, à la suite d’un recours déposé par ses avocats pour obtenir une réponse positive à leur requête, précédemment rejetée par les juges.
Depuis l’arrestation du journaliste, plusieurs sit-in de solidarité se sont tenus à Rabat, Agadir, Paris et Bruxelles. Parallèlement à l’audience reportée de ce jeudi, un sit-in a également eu lieu devant le tribunal. En avril 2019, Omar Radi avait été interrogé par la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) pendant plus de quatre heures, au sujet des mêmes tweets.
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