Édition de la mi-journée
- 19 févr. 2019
- Blog : Mohamed BENTAHAR : Tout les êtres qui aiment la grande rêverie simplifiante ..comprendront la vanité des « apparitions ». G. Bachelard
Il n’y avait ni Polisario, ni Algérie, ni Venezuela, ni
Pétaouchnok Madame. Il y avait la France avec son droit et sa
démocratie. C’est ce que vous avez violé.
Et violer les lois d’un pays sur la liberté de réunion et d’organisation
en y rajoutant la diffamation est pénalement condamnable.
On lit dans la presse makhzenienne aux ordres : Le
Polisario et Ryadi torpillent une conférence sur la liberté de la presse
à Paris. Celui où celle qui n'a pas suivi les faits va peut être croire
qu'il s'agit d'une réunion officielle à laquelle des petits hommes
verts guidés comme un troupeau par Khadija Riyadi et le Polisario sont
venus la torpiller je ne sais où !
Une punchline de laghmiq (l'enfumage)!
Juste que c'est l'association de défense des droits de l'homme
(ASDHOM), qui organise dans le cadre de son cycle de conférences une
rencontre sur le thème de la liberté de la presse.
Hanane RIHAB a participé à cette réunion publique, c'est à dire
ouverte à tous, à laquelle personne ne l’a invité, contrairement à ses
dires.
Elle a contribué à la préparation de la basse œuvre fomentée par les
services chargés de l’image du Maroc à l’étranger et de la propagande
officielle sur la gestion du problème du Sahara Occidental. Bien
entendu, les chefs n’interviennent pas. J’entends par chefs, la députée,
l’avocat de l’état policier et quelques officiels des consulats
présents ou aux alentours de la salle. Ils chargent des nervis qui
clament leur défense du roi et de la marocanité du Sahara qui ne
devraient faire partie d'aucun débat même quand les autorités Marocaines
se trouvent des jours et des mois durant en Réunion avecke Polisario.
RIHAB la sainte fourbe et menteuse
Ce que j’aime bien dans ses déclarations c’est qu’elle est loyale à
son pays, le notre, et dénonce tout ce qui porte atteinte à l’image du https://blogs.mediapart.fr/m-bentahar/blog/190219/rihab-hanane-la...
Maroc en tant que pays ouvert respectant les lois.
...
Et plus généralement, Hanane RIHAB est une sainte. Il faut lui
accorder, la défense de la veuve et de l'orphelin qui se sentent
oubliés, la défense du précaire qui chaque matin réinvente sa survie, la
défense du pauvre qui tout au long de sa vie subit l'agression de
l'opulence sans pouvoir y faire face, la défense du galérien dont le
destin est désaxé par les vents destructeurs d'une oligarchie
outrancière, la défense du jeune qui a comme seule perspective la
résistance aux aléas du marché du travail ou plutôt les océans de
chômage, la défense des femmes qui combattent pour les mêmes choses,
comme elles le font depuis des siècles, la défense du droit à une vie
digne pour toutes et tous tout simplement.
Vous avez remarqué que j’exagère à peine !
Mais un coup d’œil sur son action
D'abord sa page d'actualité parlementaire managée par le Comunity
Manager de L'ASSEMBLÉE NATIONALE Marocaine on n'y trouve aucune
infirmation depuis son élection en 2016. Une députée fantôme à part
quelques questions orales. Ça fait cher de l'heure quand le commun des
mortels subit toute sorte de précarisation.
Le surmenage parlementaire, elle ne connaît pas.
La députée est bien connue dans le milieu. C’est une « greffe avec rejet »
dans la liste imposée par son mentor LACHGAR pour les législatives de
2016, que son "très proche" Don JUAN Jawad BENAISSI n’a pas hésité une
seconde à rendre publique.
Hanane est l’es-agent de l’ombre au service de ces milieux
spécialisés dans les eaux troubles et la zizanie politique au sein de
certaines forces politiques, en charge de pourrir les mouvements sociaux
qui échappent à ces organisations, en charge de surveiller les faits et
gestes des supposés radicalisés de ces mêmes organisations (les
témoignages sont nombreux).
Une aptitude méthodique à la psychologie cognitive pour inférer
des représentations de ses opposants, de leurs comportements, brefs tout
pour atteindre le mental de ses proies.
On peut noter à titre d’exemple, son entrisme dans le mouvement du 20
Février, en charge de financer quelques actions et particulièrement les
beuveries des dissidents du mouvement qui au final se sont avérés être
souvent des sbires des stratégies de destruction du mouvement dénommés
les « Moustaquillines du mouvement du 20 février » afin de dénigrer AL
ADL WA IL IHSSANE et la Voie Démocratique et l’ensemble de la gauche
authentique.
Elle a même pris sur elle pour le besoin de la cause en assistant à
l’étonnement général aux réunions d’AL ADL WA ILIHSSANE. Rôle qui lui
tenait à cœur pour rester proche du four, d’être d’un lieu où quelque
chose se passe au sein du mouvement 20 Février.
Mais sa dissimulation a été surtout constatée lors de la création de
la coordination de soutien du Hirak du RIF et sa participation aux
caravanes de soutien aux côtés de Khadija Riyadi et d’autres mouvements.
Son infiltration des familles des détenus politiques pour couronner le
tout.
L’affaire BOUACHRINE ou les éléments de langage de la diversion
Hanane RIHAB revient souvent sur l’affaire du journaliste que au
passage, le rapport du Groupe de travail des Nations Unies sur la
détention arbitraire considère que « la privation de liberté du
journaliste Bouachrine est contraire aux articles 9, 14 et 19 de la
Charte internationale des droits de l’Homme ».
L’affaire évoquée pour se taire sur le sabotage qu’elle a orchestré avec la bienveillance de sainte.
Elle déclare être venue à la soirée pour discuter avec Khadija Riyadi
de l’affaire Bouachrine ? Sauf que Khadija RIYADI n’est ni
l’organisatrice du débat, ni venue spécialement parler que de ce cas
malheureux. D’autant plus que Madame RIHAB a moult occasions pour
échanger avec Khadija RIYADI via les réseaux sociaux qu’elle squatte ou
via d'autres moyens que celui dont elle prétend faire usage, à savoir la
conférence de l’ASDHOM et qui plus est, elle prétend être invitée sans
en apporter la moindre preuve.
Cela dit, elle avait tout à fait le droit de participer à cette
conférence et de prendre la parole respectueusement comme bon lui
semble. Ce n’était pas son choix. À rappeler que Taoufik Bouachrine,
directeur de publication du quotidien Akhbar Al Yaoum, a été condamné en
novembre dernier à 12 ans de prison ferme et à une grosse amende,
notamment sous le chef d’accusation de “traite d’êtres humains”.
Et quid de son action ?
La parlementaire RIHAB Hanane n’aime pas la vérité. Reine des faits
imaginaires et relevant des témoignages fabriqués contredits par des
enregistrements authentiques, contestant tout son propos. Mais Hanane
est à la vérité est ce qu’est Mousaylima à l’histoire. Elle est formatée
pour nuire et la liste de ses victimes est longue. Mais nous n’allons
pas lui accorder plus d’importance qu’un sbire de tous ceux qui lui ont
offert gîte et couvert dans le festin des atteintes aux libertés de la
presse dans un Maroc qui est lunairement loin de toute dignité
démocratique.
RIHAB déclare à Al Ahdath Al Maghribia, je cite, « plusieurs
personnalités connues pour leurs positions hostiles au Maroc étaient
présentes. Outre un certain Hicham Mansouri, qui se fait passer pour un
journaliste alors qu’il est membre d’une association financée par
l’étranger dans le cadre d’un agenda hostile au Maroc et Khadija Ryadi,
qui s’est présentée comme membre d’un «comité pour la vérité dans
l’affaire Bouachrine», une certaine Rosa Moussaoui, défenseuse notoire
des thèses du Polisario, était également invitée, mais elle s’est fait
remplacer par l’Algérien, Aissa Zerrouki (En fait Hassan mais ils n’y
étaient pas), connu pour ses positions anti-Maroc. »
RiHAB est porteuse d’une anomalie démocratique : élue pour mentir .
Elle défèque sur tout ce qu’elle touche. Une pathologie ? Les
spécialistes en seraient plus sûrs.
Pour la purger de ces anomalies ne reste que SABOUN LBALDI.
Car une menteuse pathologique est une personne qui ne peut pas
s'empêcher de mentir ou de fabriquer de fausses informations. Ses
neurones sont souillés. Elle a perdu pied avec la réalité, elle croit
les mensonges qu'elle raconte et ment souvent pour compenser son manque
d'amour-propre. Elle pourrait raconter des mensonges afin de s'attirer
l'attention des autres ou un gain personnel. C’est ce qu’elle a fait
avec LACHGAR, avec les PAMISTES, avec le Makhzen au final.
Purger au Saboun LBALDI cérébral c’est de la nettoyer en profondeur
de ses comportements antidémocratiques et qui puent la moisissure de
pratiques révolues …
Et la presse torchon ?
Blâmer Hanane, va de soi mais pointer le manque de professionnalisme
de ce journal est de salubrité publique. Aucun journaliste présent,
aucune confrontation des sources sur les faits, aucune source ou média
référencé. Al AHDATH fait du AL AHDATH, c’est-à-dire du caniveau.
Albert Londres disait : Notre métier n’est pas de faire plaisir, non
plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie.
Oui AL AHDATH a porté la plume dans la plaie. Celle de manque de
liberté de la presse, de l’absence de démocratie et de desservir la
cause qu’elle défend. Un nauffrage de l’éthique journalistique.
Madame RIHAB et ses dévoués sbires nous font la leçon d’aimer. Celle d’aimer plus que nous notre pays.
Qui de nous a ou subit l’exil pour cet amour ?
Qui de nous a ou subit les tracasseries partout par amour de ce pays ?
Qui de nous sert le plus les intérêts de l’étranger ? Car en
soutenant l’oligarchie qui éduque, se soigne, investit ou voyage les
plus à l’étranger ?
Qui de nous est dans la traîtrise, affaibli, et au service de ceux qui pillent ?
Qui de nous ment quand le plus éhonté des mensonges est de nier ce qui est attesté et vidéo-enregistré ?
Aucune leçon de vous Madame. Aimer son pays ne requiert aucune
justification. Qui n’a jamais demandé à quiconque raison de l’amour
qu’il porte à sa mère ? Un pays, c’est une réalité politique,
historique, géographique, démographique et culturelle. Cette alchimie
constitue une substance charnelle et spirituelle – le corps et l’âme –
où s’enracine une mystique. Cette mystique est toujours au-delà et en
deçà du réel mais elle porte une promesse qui est l’énergie vitale du
pays. Cette énergie se déploie par amour, ou alors elle meurt.
Il n’y avait ni Polisario, ni Algérie, ni Venezuela, ni Pétaouchnok.
Il y’avait la France avec son droit et sa démocratie. C’est ce que vous
avez violé. Et violer les lois d’un pays sur la liberté de réunion et
d’organisation en y rajoutant la diffamation est pénalement condamnable.
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