Translate Traduire Traducir ترجمة



 

Télégrammes

Polémique sur la réforme du Code de procédure pénale
Un vif débat a opposé le ministre de la Justice et des députés sur l’article 7 du projet de loi sur la procédure pénale, perçu comme une restriction du rôle de la société civile. L’article limite la possibilité pour les associations de se constituer partie civile. Des parlementaires dénoncent une atteinte à la démocratie et à la lutte contre la corruption. Le ministre, lui, estime que certaines associations abusent du système et que la protection du bien public relève d’institutions officielles, et non de la société civile.

mardi 18 avril 2017

Rappel : Rassemblement à Paris pour la libération "immédiate et inconditionnelle" des prisonniers politiques sahraouis de Gdeim Izik

Chahid Elhafed, 17 avr 2017 (SPS) 

Un rassemblement à la Place des invalides près du métro de Paris aura lieu mardi 18 avril de 14h30 à 18h pour exiger la libération "immédiate et inconditionnelle" des prisonniers politiques sahraouis (groupe de Gdeim Izik) et l’arrêt de la répression marocaine contre les civils sahraouis sans défense dans les territoires occupés du Sahara occidental, qui réclament pacifiquement le droit de leur peuple à l’autodétermination et à l’indépendance.
Ce rassemblement, à l’appel de la plateforme de solidarité avec le peuple sahraoui, en collaboration des associations sahraouies et de la communauté en France, ainsi que la Ligue des étudiants sahraouis en France, appelle à participer à la souscription pour la défense des prisonniers politiques sahraouis pour obtenir enfin leur libération.
Il demande l’organisation rapide du référendum d’autodétermination, afin de permettre au peuple sahraoui de décider librement de son avenir.
Les organisateurs réclament l'extension du mandat de la mission des Nations unies pour le référendum au Sahara occidental  (Minurso) à la surveillance du respect  des droits de l'homme au Sahara occidental, en attente de sa décolonisation par le biais d’un référendum juste et transparent sous les auspices de l’ONU et de l’UA.
Ils appellent aussi au respect et la pleine application de l’arrêt de la Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE) du 21 décembre 2016 qui exclut le Sahara occidental du champ d’application des accords entre l’Union européenne et le Maroc. (SPS)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire