«Nous attendons impatiemment nos enfants en martyrs de ce pays pour lequel ils auraient payé ce lourd tribut». L’État marocain porte la responsabilité lourde dans le cas grave d’un
détenu qui décède du fait de ses conditions de détention et de la grève
de la faim.
Les familles n’assisteront pas en spectateurs « Les familles sont prêtes à l’escalade pour protester contre l’arbitraire et la mascarade des droits humains au Maroc :
- Sit in, devant toutes les institutions responsables de cette farce des droits humains
- L’appel au boycott scolaire
Lors de leur dernière visite le mercredi 20 septembre 2017, l’administration pénitentiaire de la prison d’Okacha a employé des méthodes de provocation et d’humiliation contre les détenus et leurs familles :
- Un régime de surveillance renforcé
- L’administration a mis un gardien derrière chaque détenu et chaque membre de la famille en visite et ce pour une raison inconnue
- Absence de confidentialité de leurs conversations
- Contrôle d’identité et palpation dite «de sécurité » des parties génitales des femmes et des hommes
- L’appel au boycott scolaire
Lors de leur dernière visite le mercredi 20 septembre 2017, l’administration pénitentiaire de la prison d’Okacha a employé des méthodes de provocation et d’humiliation contre les détenus et leurs familles :
- Un régime de surveillance renforcé
- L’administration a mis un gardien derrière chaque détenu et chaque membre de la famille en visite et ce pour une raison inconnue
- Absence de confidentialité de leurs conversations
- Contrôle d’identité et palpation dite «de sécurité » des parties génitales des femmes et des hommes
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