Le service des urgences de l’hôpital régional de la ville d’Oujda
a dû traiter en urgence un groupe de migrants subsahariens dont l’état
de santé s’est gravement détérioré à cause de la faim et du froid. Des
habitants de Tiouli, à proximité de Jerada, en auraient trouvés trois en
extrême difficulté à deux pas de la frontière maroco-algérienne.
Des habitants de Tiouli auraient découvert,
mercredi, trois migrants en situation irrégulière qui se trouvaient dans
un état de santé critique, causé par la faim et le froid, et ont
immédiatement alerté la gendarmerie qui s’est chargée de les transférer à
l’hôpital Al Farabi d’Oujda, rapporte le site Rue20. Et ils ne seraient
pas les seuls, plusieurs autres migrants auraient été dans l’obligation
de se rendre au même hôpital.
Lundi dernier, c’est une migrante ivoirienne qui a été retrouvée, dans la région frontalière de Roubane, dans un état critique, avant d’être conduite à l’hôpital. Selon la même source, elle a été abandonnée par le groupe de migrants avec lequel elle avait précédemment traversé la frontière car ses capacités de mouvements avaient été ralenties par le froid à cause d’une douleur à la jambe.
Par ailleurs, le corps d’un autre migrant a été transféré cette semaine à la morgue de l’hôpital Al-Farabi, après qu’il a été retrouvé dans la zone frontalière de Ras Ousfour.
Lundi dernier, c’est une migrante ivoirienne qui a été retrouvée, dans la région frontalière de Roubane, dans un état critique, avant d’être conduite à l’hôpital. Selon la même source, elle a été abandonnée par le groupe de migrants avec lequel elle avait précédemment traversé la frontière car ses capacités de mouvements avaient été ralenties par le froid à cause d’une douleur à la jambe.
Par ailleurs, le corps d’un autre migrant a été transféré cette semaine à la morgue de l’hôpital Al-Farabi, après qu’il a été retrouvé dans la zone frontalière de Ras Ousfour.
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