LISBONNE
- Des organisations syndicales et de la société civile portugaises ont
signé un appel conjoint adressé au gouvernement portugais lui demandant
de prendre "clairement position contre l'agression du Royaume du Maroc
du peuple sahraoui" et de "mettre fin à l'occupation du Sahara
occidental par le Maroc".
La
lettre, signée par 24 organisations nationales et publiée sur plusieurs
sites portugais, y compris sur la page de l'Organisation internationale
progressiste, a appelé également le Conseil mondial de la paix à faire
respecter le droit inaliénable du peuple sahraoui à l'autodétermination,
ainsi qu'à mettre en place un mécanisme permanent des Nations unies
pour surveiller le respect des droits fondamentaux du peuple sahraoui
dans les territoires occupés.
S'adressant aussi au secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, les organisations portugaises ont renouvelé "leur solidarité avec le peuple sahraoui, exigeant la fin immédiate des violences et de la répression par les forces d'occupation marocaines, en particulier depuis le 19 juillet".
Ce jour-là, une militante sahraouie, Sabah Othman (24 ans) a été tué par un véhicule des forces d'occupation marocaines qui a foncé à pleine vitesse sur des manifestants sahraouis sortis célébrer pacifiquement la victoire de l'équipe algérienne de football lors de la finale de la coupe d'Afrique des Nations.
Dans leur lettre, les organisations portugaises ont demandé la cessation immédiate de la répression violente des forces d'occupation marocaines contre les militants sahraouis, soulignant que "le peuple sahraoui vit depuis des décennies sous l'occupation du Royaume du Maroc - où il est soumis à des assassinats, à des tortures et à des arrestations arbitraires - alors que d'autres Sahraouis avaient été contraints de s'exiler et de survivre dans des camps de réfugiés dans des conditions extrêmement difficiles".
Les organisations signataires ont précisé, en outre, qu'une solution juste du conflit sahraoui passait par "la fin de l'occupation marocaine des territoires du Sahara occidental, la mise en place d'un mécanisme permanent des Nations Unies chargé de surveiller le respect des droits de l'Homme des Sahraouis dans les territoires occupés et la libération des prisonniers politiques sahraouis détenus dans les prisons marocaines".
Tenant compte de toutes ces considérations, les organisations portugaises ont souligné que le gouvernement portugais est obligé de prendre une position claire vis-à-vis de l'agression du Royaume marocain contre le peuple sahraoui et d'exiger la relance des négociations entre le Maroc et le Front Polisario sous l'égide des Nations Unies pour la tenue du référendum de l'autodétermination du peuple sahraoui.
S'adressant aussi au secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, les organisations portugaises ont renouvelé "leur solidarité avec le peuple sahraoui, exigeant la fin immédiate des violences et de la répression par les forces d'occupation marocaines, en particulier depuis le 19 juillet".
Ce jour-là, une militante sahraouie, Sabah Othman (24 ans) a été tué par un véhicule des forces d'occupation marocaines qui a foncé à pleine vitesse sur des manifestants sahraouis sortis célébrer pacifiquement la victoire de l'équipe algérienne de football lors de la finale de la coupe d'Afrique des Nations.
Dans leur lettre, les organisations portugaises ont demandé la cessation immédiate de la répression violente des forces d'occupation marocaines contre les militants sahraouis, soulignant que "le peuple sahraoui vit depuis des décennies sous l'occupation du Royaume du Maroc - où il est soumis à des assassinats, à des tortures et à des arrestations arbitraires - alors que d'autres Sahraouis avaient été contraints de s'exiler et de survivre dans des camps de réfugiés dans des conditions extrêmement difficiles".
Les organisations signataires ont précisé, en outre, qu'une solution juste du conflit sahraoui passait par "la fin de l'occupation marocaine des territoires du Sahara occidental, la mise en place d'un mécanisme permanent des Nations Unies chargé de surveiller le respect des droits de l'Homme des Sahraouis dans les territoires occupés et la libération des prisonniers politiques sahraouis détenus dans les prisons marocaines".
Tenant compte de toutes ces considérations, les organisations portugaises ont souligné que le gouvernement portugais est obligé de prendre une position claire vis-à-vis de l'agression du Royaume marocain contre le peuple sahraoui et d'exiger la relance des négociations entre le Maroc et le Front Polisario sous l'égide des Nations Unies pour la tenue du référendum de l'autodétermination du peuple sahraoui.
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