Les enfants ne sont pas épargnés.
Plusieurs associations sahraouies avaient tiré la sonnette d'alarme quant à "l'escalade dangereuse et une hausse inédite" des harcèlements de la part des forces d'occupation contre les civils, les activistes et les journalistes sahraouis dans les villes occupées, depuis la reprise de la guerre au Sahara occidental.
Le 13 novembre dernier, l'armée marocaine avait violé l'accord de cessez le feu, signé en 1991 sous l'égide de l'ONU entre le Front Polisario et le Maroc en menant des attaques contre des manifestants civils sahraouis dans la zone tampon d'El Guerguerat.
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