Depuis plusieurs années, les grands de ce monde ont décidé d'offrir le territoire du Sahara Occidental au Maroc en guise de récompense pour ses actes de serviteur loyal aux desseins impérialistes dans la région du Maghreb. Même au détriment de la légalité internationale.
C'est
dans ce contexte que toutes les résolutions du Conseil de Sécurité
pointent vers l'imposition de la pseudo-solution basée sur l'octroi aux
sahraouis d'une prétendue autonomie de la part d'un régime qui n'a
jamais respecté ses engagements ni les moindres principes des droits de
l'homme et de démocratie. Théoriquement, pour des raisons de sécurité.
Dans la réalité, les puissances mondiales, la France et les Etats-Unis
plus précisément, lorgnent les nombreuses richesses du territoire.
En
tant qu'instrument parasité par ces puissances, l'ONU tourne le regarde
sur les pratiques d'un autre âge que les autorités marocaines utilisent
pour museler la population sahraouie dans les territoires occupés. Une
population enfermée dans une prison à ciel ouvert interdite aux
journalistes, aux ONG et à tous les visiteurs qui n'ont pas l'intention
de louer l'occupation marocaine.
Assuré
par le silence criminel de la communauté internationale et la
protection de la France colonialiste, le Maroc se permet les pires
violations des droits de l'homme dans un territoire classé non autonome
par les Nations Unies.
Ulcérées
par la décision du Front Polisario de reprendre la lutte armée en vue
de mettre fin au statu-quo imposé au peuple sahraoui dans le but de
l'amener à capituler, les autorités marocaines ont décidé d'assouvir
leur vengeance sur la population civile sahraouie qui tente de
s'exprimer sur son sort et sa situation tragique.
Ainsi,
après avoir arraché un oeil à l'activiste des droits de l'homme Sultana
Khaya, elle se retrouve désormais emprisonné chez elle sous le régime
de la résidence surveillée, entourée et harcelée par les bourreaux du
roi Mohammed VI.
Cette
situation est le produit des mauvais calculs des protecteurs de la
monarchie médiévale et sanguinaire du Maroc qui rêvent de voir le peuple
sahraouie déposer les armes. Rêver, c'est un droit légitime et gratuit,
mais il reste, quand même, un rêve qui dans ce cas ne sera réalisera
jamais puisque les sahraouis sont déterminés, maintenant plus que
jamais, à en découdre avec cet Etat qui, malgré ses accointances avec le
terrorisme et le trafic de drogues, reste le chouchou de l'Occident.
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