Non, la première réponse européenne coordonnée ne doit pas viser à lutter contre « les flux migratoires irréguliers ». L’urgence est de construire une politique d’accueil généreuse et sans barrières.
Les vœux pieux type « les femmes afghanes ont le droit de vivre dans la liberté » n’ont pas leur place aujourd’hui. Les afghan·es savent ce qui les attend. Les lâchetés de la politique migratoire européenne continueront à se payer en vies.
L'histoire jugera le président de la République pour avoir choisi ces termes en ces circonstances.
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