Une expérience à vivre tous les soirs à partir de 18h, jusqu’au 2 septembre
CULTURE - La magie du cirque nous fait découvrir les secrets bien gardés de la ville de Salé. Pour sa 7ème édition, la Biennale des arts du cirque et du voyage
s’installe dans des lieux qui ont marqué l’histoire de Salé pour nous
offrir un voyage dans le monde merveilleux des artistes. L’événement,
qui se poursuit jusqu’au dimanche 2 septembre, s’adresse aussi bien aux
petits qu’aux grands enfants. Si la plupart des spectacles sont gratuits
et ouverts à tous, certains sont au tarif volontairement accessible de
20 DH.
Engagée dans une démarche de production solidaire de
spectacle vivant, Karacena tisse un lien entre histoire, mémoire,
patrimoine, architecture et création contemporaine à travers un
rendez-vous artistique unique au Maroc.
Portée par l’École Nationale de Cirque Shems’y à Salé, dirigée par Alain Laëron, et fondée sous l’égide de l’AMESIP (Association Marocaine d’aide aux Enfants en Situation Précaire), présidée par Touraya Bouabid, Karacena défend l’idée de l’exigence artistique accessible au plus grand nombre, des formes les plus intimes aux plus monumentales.
Portée par l’École Nationale de Cirque Shems’y à Salé, dirigée par Alain Laëron, et fondée sous l’égide de l’AMESIP (Association Marocaine d’aide aux Enfants en Situation Précaire), présidée par Touraya Bouabid, Karacena défend l’idée de l’exigence artistique accessible au plus grand nombre, des formes les plus intimes aux plus monumentales.
“Les artistes s’inspirent de la ville pour en
dévoiler le patrimoine et rendre visible pour la population à la fois
ces trésors séculaires que cache Salé, mais aussi les trésors vivants
que sont les artistes en formation”, souligne Alain Laëron, directeur de
l’École Nationale de Cirque Shems’y à Salé au HuffPost Maroc, ajoutant qu’il s’agit de spéciales tous publics.
Avec trois espaces de présentation à la Kasbah des gnaouas, deux chapiteaux, un espace extérieur avec des gradins et plusieurs petites scènes, l’événement investit notamment Borj Doumoue, Bab Khmiss (dans la médina), le quai des créateurs à la marina ou encore le centre Shems’y.
Avec trois espaces de présentation à la Kasbah des gnaouas, deux chapiteaux, un espace extérieur avec des gradins et plusieurs petites scènes, l’événement investit notamment Borj Doumoue, Bab Khmiss (dans la médina), le quai des créateurs à la marina ou encore le centre Shems’y.
“Cette année, la thématique est ‘Faire monde’, et
s’articule autour du vivre ensemble et du rapport à l’autre. Comment
pouvons-nous oublier les frontières, physiques ou psychologiques?
Plusieurs spectacles ont été nourris par cette réflexion. C’est la
source d’inspiration de ces différents projets”, ajoute le directeur de
l’École Nationale de Cirque.
Karacena explore ainsi l’imagination en s’inspirant de ce qui existe autour de nous, de l’Histoire, du patrimoine, du présent, de l’air du temps en nous plongeant dans un monde parallèle où tout est possible. Une expérience esthétique, critique, philosophique, citoyenne mais surtout émotionnelle qui échappe au temps. Une expérience surprenante à vivre tous les soirs à partir de 18h, jusqu’au 2 septembre.
Karacena explore ainsi l’imagination en s’inspirant de ce qui existe autour de nous, de l’Histoire, du patrimoine, du présent, de l’air du temps en nous plongeant dans un monde parallèle où tout est possible. Une expérience esthétique, critique, philosophique, citoyenne mais surtout émotionnelle qui échappe au temps. Une expérience surprenante à vivre tous les soirs à partir de 18h, jusqu’au 2 septembre.
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