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dimanche 16 février 2020

Luk Vervaet à Prisoners' News
UN APPEL A TOUS LES INTERNAUTES
QUI QUE VOUS SOYEZ, SVP, LISEZ

Les choses sont claires. Mon dossier est vide de tout crime et de tout viol. Les juges d’instruction, Camille Guillermet, Camille Palluel et Cyril Paquaux, instruisent à charge, ignorent les enquêtes de la brigade criminelle, négligent les preuves flagrantes des multiples mensonges des plaignantes, et protègent les nombreuses personnes citées dans le dossier prouvant qu’il s’agit d’un traquenard. Aucune de ces personnes n’a été entendue à ce jour. Cette instruction est UN SCANDALE.
Plusieurs articles, rapports et mémoires ont déjà exposé les noms de ces trois juges sous influence (« sous emprise ») ainsi que leurs méthodes au niveau des plus hautes institutions françaises, européennes et internationales. D’autres procédures sont en cours. Il faut que cette mascarade soit dénoncée et qu’elle cesse.
A vous qui me lisez ici, j’aimerais dire deux choses. Quelle que soit votre opinion sur ma personne, quelle que soit votre légitime déception, quelle que soit votre situation; le minimum de votre engagement pour la vérité, la justice et la liberté, est de LIRE les informations postées concernant cette mascarade de justice et de les PARTAGER le plus largement possible sur le Net. Au nom de votre conscience, de votre foi et de votre humanité : je n’attends pas de vous que vous soyez des juges ou des avocats, mais juste des êtres humains libres refusant l’injustice et les manipulations politiques. Les médias traditionnels sont dans les mains d’intérêts idéologiques, économiques et politiques. Il nous reste cette fenêtre sur les réseaux sociaux et CHACUN peut contribuer à faire entendre la vérité. Vous êtes près de trois millions ici (Facebook et Twitter) : derrière votre écran, vous pouvez agir.
A ceux que j’ai déçus et qui se taisent désormais, j’aimerais dire : se peut-il que votre déception, légitime et que je respecte, justifie votre silence devant un traitement ignoble et injuste ? Se peut-il que votre jugement moral ait endormi votre devoir humain et politique ? J’étais « un frère » dans le succès, je suis devenu un étranger dans l’épreuve ? Parce que votre cœur meurtri ne me sent plus comme un « frère », votre conscience aurait le droit d’oublier que je suis un homme ? Quel islam, quelles religions et quel humanisme enseignent cela ?


A ceux qui étaient mes collègues, mes collaborateurs, mes compagnons de luttes politiques et sociales et qui ont aujourd’hui disparu, j’aimerais dire : vous me disiez être engagés à mes côtés pour le droit, la justice et contre l'oppression et le racisme, n’est-ce pas ? Or devant le traitement injuste que m’imposent le pouvoir français et sa justice, vous vous taisez ? Au nom d’une « amitié » blessée (blessure que je respecte encore), vous justifiez un silence politique qu’aucune conscience politique ne peut justifier. Étions-nous des « amis » de luttes communes pour la justice et la dignité humaine ou étiez-vous surtout les « amis » du large public auquel je vous donnais accès ? Parce que j’aurais perdu cet intéressant public, la défense de la justice à mon égard serait devenue moins intéressante ? Au-delà de ma personne, ce sont nos idéaux communs que votre silence trahit.
A ceux qui sont restés, ou qui sont ébranlés encore, ou qui luttent intérieurement pour donner un sens à cette affaire et à cette épreuve, j’aimerais vous transmettre ici le témoignage de mon respect et de ma fraternité humaine. Que vous soyez musulmans, d’autres confessions, athées ou humanistes, soyez assurés que votre soutien me donne de la force et que je resterai debout. Avec Dieu, ma foi, ma grande famille, ceux que j’aime et qui m’aiment, j’aurai la force de me battre jusqu’au bout in sha Allah. C’est une promesse et un devoir.
Derrière votre écran, je vous demande simplement d’être patients, justes et activement solidaires. La première marque de votre fraternité humaine, de votre conscience et de votre courage – même si la fraternité a pu vaciller – est de LIRE, de faire LIRE et de PARTAGER les informations concernant cette affaire alors que les médias les ignorent systématiquement. Ayez au moins le courage de cela. Pas plus, mais pas moins, s’il vous plaît. Que ce soit votre promesse autant que votre devoir.
N’oubliez pas de dire à ceux que vous aimez, que vous les aimez. La vie est fragile, et notre foi solide.

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