« C’est un virus de classe »,
dit la sociologue Monique Pinçon-Charlot. C’est la première secousse
d’un séisme plus profond, mais c’est aussi un rendez-vous historique. Il
faut sortir de l’entre-soi et du petit marché de la contestation.
La
guerre qu’il faut livrer, c’est la guerre contre les riches et contre ce
qu’il ne faut plus avoir peur de nommer, le capitalisme.
[RADIO] Un entretien de Daniel Mermet avec Monique Pinçon-Charlot à écouter ici : la-bas.org/la-bas-magazine/ entretiens/monique-pincon- charlot-ces-criminels-devront- rendre-des-comptes
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