"Ces dernières semaines, des individus ont été recrutés ou se sont auto désignés pour la mission d'assassiner moralement Mahmoud Cherkaoui", a écrit l'ancien membre du Comité d'experts des Nations Unies sur Facebook sous le titre "A qui de droit".
"Ce n'est pas mes idées qu'ils ciblent mais ma personne à travers des menaces directes par téléphone et en me désignant à la vindicte populaire en tant qu'ennemi du Maroc et agent à la solde de certaines parties, et bien d'autres formes de diffamation et dénigrement", a-t-il poursuivi.
"Ces attaques, qui ne peuvent plus continuer à être ignorées, exigent des poursuites devant les tribunaux marocains et américains pour diffamation et calomnie afin que la justice tranche sur ces individus, bien identifiés et localisés", a-t-il ajouté soulignant que "la loi, tant au Maroc qu'aux Etats Unis, protège la liberté d'expression sur les réseaux sociaux et les droits des victimes dans les procès en diffamation".
Et de rappeler que "l'avantage avec Facebook et les E-mails, c'est que les écrits sont sauvegardés avec leurs date et heure, des éléments de preuve acceptés par les tribunaux".
L'Universitaire avait indiqué dans une contribution sur sa page Facebook, que la déclaration de Donald Trump sur le Sahara Occidental "n'avait ni effet, ni signification du point de vue légal et politique dans le contexte américain, de même qu'elle est facilement abrogeable". (SPS)
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