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Cela veut dire qu’un mouvement contre la détention politique, contre l’arrestation des activistes et des journalistes à cause de leur opinion commence à s’installer de nouveau. Le fait que des familles ont décidé de travailler ensemble, c’est pour contextualiser aussi leur situation disant que «nous sommes en prison parce qu’au Maroc, il y a une dégradation de la situation des droits humains, il y a une offensive contre les acquis des Marocains en matière de liberté, il y a une politique systémique d’atteinte aux droits et d’infraction des lois». Donc, ils font ce qu’ils peuvent faire en tant que prisonniers d’opinion. Ils sont incarcérés, mais ils appellent tout le monde à agir aussi pour changer les choses et faire en sorte que la situation ne perdure pas.
Khadija Ryadi, membre de plusieurs comités de soutien, dont celui de l'universitaire Maati Monjib
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