- .Enseignement supérieur, Akhannouch décide à la place du ministre, mais le blocage persiste.
Comme tout récemment avec le ministre de l’Éducation, Chakib
Benmoussa, Aziz Akhannouch a court-circuité son ministre de
l’Enseignement supérieur, Abdellatif Miraoui, en supervisant lui-même
la signature d’un accord entre le département de l’Enseignement
supérieur et le syndicat le plus représentatif du secteur le 20
octobre 2022.
- .CRI, de la tutelle de l’intérieur à l’hypercentralisation d’Akhannouch.
Le Conseil de gouvernement a approuvé le 4 mai dernier de nouveaux
amendements relatifs aux Centres régionaux d'investissement (CRI). Dans
cette reconfiguration, les CRI passent désormais dans le giron du Chef
du gouvernement en lieu et place du ministère de l'Intérieur.
- .Les dépossédés
Victimes de l’interventionnisme du Chef du gouvernement et de sa
tendance à annexer les grands projets, ces ministres sont empêchés
dans la conduite sereine de leurs missions. Et finissent souvent par
être invisibilisés.
- .Emploi, une nouvelle année noire pour le gouvernement
L’hyperactivisme d’Akhannouch, pour certains, est un gage
d’efficacité, une envie d’aller vite et d’obtenir des résultats
concrets. Ce volontarisme a-t-il eu un effet sur l’indicateur le plus
vital de l’économie marocaine : l’emploi ? Que nenni !
- .Entretien : “Le problème de Aziz Akhannouch, c'est qu'il laisse les dossiers “pourrir” avant d’entrer en jeu”.
Cadre du PJD dont il est président du conseil national, l’ex-ministre
du Budget et ancien maire de Fès Driss El Azami, pense que Aziz
Akhannouch n’est pas un leader “excessif”, mais qu’il fait preuve au
contraire de faiblesse dans son mode de gouvernance....
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