Télégrammes
Le trafic de drogue infiltre l’élevage des chevaux
Des trafiquants de drogue investissent dans l’élevage de chevaux pour blanchir leur argent. Un riche homme d’affaires lié au trafic international de drogue a acquis une ferme près de Tanger, abritant des chevaux de race. Profitant du faible contrôle du secteur, il manipule les prix déclarés pour justifier l’origine de ses fonds. Grâce aux transactions en espèces et aux aides publiques, il parvient à blanchir des sommes colossales, tout en entretenant des liens avec des réseaux internationaux.
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Aziz Akhannouch |
Son OPA sur les ministres |
Comment en est-il venu à décider de tout, à tout contrôler, à tout
signer lui-même, jusqu’à désavouer ses ministres et les réduire au
rôle de figurants. Où s’arrêtera-t-il ? |
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Lire le dossier |
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- .Enseignement supérieur, Akhannouch décide à la place du ministre, mais le blocage persiste.
Comme tout récemment avec le ministre de l’Éducation, Chakib
Benmoussa, Aziz Akhannouch a court-circuité son ministre de
l’Enseignement supérieur, Abdellatif Miraoui, en supervisant lui-même
la signature d’un accord entre le département de l’Enseignement
supérieur et le syndicat le plus représentatif du secteur le 20
octobre 2022.
- .CRI, de la tutelle de l’intérieur à l’hypercentralisation d’Akhannouch.
Le Conseil de gouvernement a approuvé le 4 mai dernier de nouveaux
amendements relatifs aux Centres régionaux d'investissement (CRI). Dans
cette reconfiguration, les CRI passent désormais dans le giron du Chef
du gouvernement en lieu et place du ministère de l'Intérieur.
- .Les dépossédés
Victimes de l’interventionnisme du Chef du gouvernement et de sa
tendance à annexer les grands projets, ces ministres sont empêchés
dans la conduite sereine de leurs missions. Et finissent souvent par
être invisibilisés.
- .Emploi, une nouvelle année noire pour le gouvernement
L’hyperactivisme d’Akhannouch, pour certains, est un gage
d’efficacité, une envie d’aller vite et d’obtenir des résultats
concrets. Ce volontarisme a-t-il eu un effet sur l’indicateur le plus
vital de l’économie marocaine : l’emploi ? Que nenni !
- .Entretien : “Le problème de Aziz Akhannouch, c'est qu'il laisse les dossiers “pourrir” avant d’entrer en jeu”.
Cadre du PJD dont il est président du conseil national, l’ex-ministre
du Budget et ancien maire de Fès Driss El Azami, pense que Aziz
Akhannouch n’est pas un leader “excessif”, mais qu’il fait preuve au
contraire de faiblesse dans son mode de gouvernance....
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