Bonjour,
Après de longues hésitations, je me suis lancée: mon livre "Plus qu'hier et moins que demain, contre le racisme, le colonialisme et la guerre"
sortira début août 2018.
Des textes qui couvrent vingt ans de débat, à
commencer dans le PTB puis comme militante indépendante, sur cette
problématique qui me tient à cœur.
Le livre compte 248 pages et coûtera 10 euros. Il sera co-édité par
Antidote et une maison d'édition française, La Guillotine.
Vous pouvez m'aider à réaliser cette publication, notamment en m'aidant à financer les coûts d'infographie et d'impression
, qui s'élèvent à environ 2000 euros
.
Vos dons peuvent se faire sur le compte de la maison d'éditions
A
ntidote BE20-004-402359-4956 avec mention "livre NRR". Tout donateur recevra naturellement un exemplaire du livre en retour.
Vous
pouvez aussi commander un ou plusieurs exemplaires par retour de mail,
organiser une petite rencontre pour sa présentation (dès la mi-août) ou
me faire d'autre suggestions.
C'est un pas important dans ma vie militante, votre soutien me tient à cœur.
Merci d'avance,
Nadine
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Télégrammes
Extrait de la conférence de presse de Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie sur le bilan des activités de la diplomatie russe en 2024, Moscou, 14 janvier 2025
Question : Des scientifiques de Saint-Pétersbourg ont demandé à poser une question sur les relations russo-marocaines. Le Maroc se considère comme la porte d'entrée de l'Afrique. Nous aimerions connaître votre point de vue sur le problème des relations russo-marocaines.
Sergueï Lavrov : Pour ce qui est du Maroc, c'est un pays ami. En décembre 2023, nous avons tenu une réunion régulière du Forum russo-arabe pour la coopération au Maroc. Nous étions dans la ville de Marrakech. Tout était parfaitement organisé. Nous avons eu une réception avec le premier ministre. Nous avons de bons projets. Nous aidons les Marocains à résoudre les problèmes qui relèvent de la compétence du ministère des Affaires étrangères. Je fais avant tout référence au problème du Sahara occidental. Ici, nous devons être guidés par les résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies.
Le thème de l'autodétermination des peuples a été soulevé à plusieurs reprises aujourd'hui. Il y a très longtemps, environ 40 ans, le Conseil de sécurité des Nations unies a décidé que le problème de l'appartenance du Sahara occidental devait être résolu par l'autodétermination du peuple sahraoui. Je travaillais encore à New York à cette époque. Il y avait un représentant spécial du Secrétaire général pour l'organisation du référendum. Il s'agissait de James Baker, ancien secrétaire des États-Unis. Il décrivait les schémas pour le décompte des voix, la façon dont les anciens sélectionneraient les tribus qui voteraient. Tout semblait à peu près réglé. 40 ans plus tard, rien n'a bougé. La question n'est pas facile pour les Marocains.
L'administration américaine de Donald Trump (lorsqu'il était pour la première fois à la Maison Blanche) a tout simplement décrété que le Sahara occidental était marocain. Aujourd'hui, nous avons le Groenland et le canal de Panama. Bien entendu, aborder ces questions de manière unilatérale ne fait que semer une tempête qui ne manquera pas éclater à nouveau au bout d'un certain temps.
Nous devons rechercher des accords universellement acceptables. Nous savons à quel point c'est important pour le Maroc. Nous nous efforcerons de lui apporter toute notre assistance possible. Toutefois, la question ne peut être résolue que sur la base d'un accord mutuel et non en imposant quelque chose à l'une des parties.
Source : https://mid.ru/fr/foreign_policy/news/1991476/
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