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La sélection de la semaine
À l’heure où le Maroc reconfine à nouveau, Orient XXI vous propose un retour sur la gestion de la crise du Covid-19 dans le royaume et ses conséquences, à travers plusieurs articles publiés récemment :
➞ -
«
Maroc. Une société solidaire porteuse d’espoir
»
de
Jacques Ould Aoudia
ou comment les acteurs de la
société civile, et notamment les jeunes, s’organisent pour venir en aide
aux plus démunis en ces temps de pandémie.
➞
«
Maroc. Sa Majesté l’arlésienne
»
d’
Omar Brouksy
revient sur l’absence quasi-totale
de communication de la part du palais durant le confinement
;
➞
«
Maroc. Le roi, le coronavirus et «
la volonté divine
»
»
dans lequel
Hicham Mansouri
revient sur la gestion de la crise
sanitaire par l’exécutif marocain, et la remise en cause de la politique
néolibérale menée au Maroc depuis des décennies.
Maroc. Le roi met (provisoirement) en berne l’humiliante « bay’a »
Pour la première fois depuis l’arrivée au pouvoir du souverain Mohammed VI en juillet 1999, la cérémonie controversée de l’allégeance, appelée bay’a en arabe, est « reportée » à cause du Covid-19. Plongée dans un rituel d’origine religieuse humiliant, mais qui sert à légitimer un pouvoir politique.
Maroc. Le roi met (provisoirement) en berne l’humiliante « bay’a »
Pour la première fois depuis l’arrivée au pouvoir du souverain Mohammed VI en juillet 1999, la cérémonie controversée de l’allégeance, appelée bay’a en arabe, est « reportée » à cause du Covid-19. Plongée dans un rituel d’origine religieuse humiliant, mais qui sert à légitimer un pouvoir politique.
31 juil. 2020 14:11 (il y a 6 jours) |
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